Bien qu'âgé tout juste de 17 ans, le lycéen Anys Mezzaour vient de signer à l'occasion de la tenue de la 18e édition du Salon international du livre d'Alger, son premier roman intitulé «Le lien des temps, la proie des mondes», publié aux éditions Enag. Anys Mezzaour savait depuis déjà longtemps qu'il emprunterai la voie de l'écriture pour partager avec ses lecteurs ses écrits. Anys apprend à lire à l'âge de cinq ans. A huit ans, il dévore carrément les romans de littérature. A onze ans, il commence à griffonner quelques notes sur des feuilles éparses. En faisant des va et vient entre ses notes, prises dans des moments d'inspiration, il se rend compte qu'il a amassé suffisamment de notes pour en faire un livre. Il termine son premier roman au bout de cinq ans comme il le souligne si bien, «j'ai fait des arrêtes voulus en raison de mes études. J'écrivais surtout pendant les vacances. Cette passion pour l'écriture et la lecture me possèdent depuis tout enfant», dit-il. Le manuscrit en question a été finalisé en février 2013. Un roman, situé dans le genre «fantasy». «Le lien du temps, la proie des mondes» n'est autre que l'histoire d'un adolescent de seize ans, prénommé Bill, lequel traverse des péripéties. Doté de pouvoirs magiques et vivant dans un univers parallèle, il est pris en chasse par l'ennemi public numéro un de son pays. Au fil de l'intrigue, il devra faire face à des vérités longtemps cachées et à des situations qu'il n'aurait jamais imaginé pouvoir vivre. Depuis son entrée à l'Académie de magie d'Elementia jusqu'à son séjour sur Terre, en passant par les complots aux plus hauts sommets de l'Etat, Bill Stuart vivra une aventure extraordinaire à la frontière du réel. Le Lien des Temps - La Proie des Mondes. A la lecture de ce roman de plus de trois cent pages, le lecteur est tenté de faire cette similitude avec la saga phare de Harry Potter. Anys Mezzaour confie que son histoire n'est pas semblable à celle d'Harry Potter sauf peut-être ce côté fantastique. Lors de deux ventes dédicaces, organisées à l'occasion du Salon international du livre d'Alger, Anys Mezzaour qui est en classe de terminale a annoncé que le tome deux sera bientôt sur les étals des librairies. Pas question pour lui de s'arrêter en si bon chemin. Anys Mezzaour a baigné dans un milieu favorable à l'univers de la culture. Ses parents et ses grands parents ont suivi de loin son talent. Si sa grand-mère maternelle a été la première à savoir que son petit fils allait publier un livre, son grand père maternel, qui n'est autre que Kaddour M'Hamsadji, auteur de plusieurs publications, a été, quant à lui, son premier lecteur. Quoi de plus légitime que Kaddour M'Hamsadji signe la préface de son petit-fils.