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19 personnalités nationales voudraient être reçues par le Président
Publié dans La Nouvelle République le 07 - 12 - 2015

Dix-neuf personnalités nationales ont adressé une lettre au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le priant de les recevoir en audience afin de lui faire part de leurs préoccupations quant à la situation prévalant en Algérie, ont indiqué des signataires de cette lettre dans une conférence de presse.
«Nous sommes convaincus que la situation qui prévaut en Algérie ne cadre pas avec votre histoire de moudjahid, ni avec vos principes et convictions, ni avec votre vision de l'Etat, et votre exercice de la fonction présidentielle. C'est pourquoi, nous vous prions Monsieur le président de la République, de bien vouloir nous recevoir en audience afin de vous faire part de nos profondes préoccupations quant à l'avenir du pays et solliciter votre intervention», ont écrit les auteurs de la lettre lue par le moudjahid Abdelkader Guerroudj. «Nous avons déposé notre lettre auprès de la présidence de la République au niveau du secrétariat du directeur de cabinet, et de son secrétaire lundi dernier», a précisé Louisa Hanoune qui a été déléguée par les signataires pour parler en leurs noms, qualifiant cette démarche de «légitime», car, a-t-elle dit, «nous respectons l'Etat, les institutions et le peuple algérien», affirmant que cette démarche n'était pas «partisane». Les signataires de la lettre, qui sont de divers horizons politiques, ont convenu «d'une démarche politique, et non pas d'une initiative comportant un projet politique», a ajouté Mme Hanoune dans un communiqué. Parmi les signataires de la lettre figurent la moudjahida Zohra Drif Bitat, le moudjahid Lakhdar Bouragaâ, les anciens ministres Abdelhamid Aberkane, Khalida Toumi et Fatiha Mentouri, l'écrivain Rachid Boudjedra et le défenseur des droits de l'Homme Boudjemaâ Ghechir. Selon les déclarations des signataires qui veulent rencontrer le chef de l'Etat, ils déclarent que cette démarche est motivée «par la détérioration du climat général dans le pays et voudraient informer le président des graves dérives qu'ils constatent sur la scène politique et notamment sur l'échiquier économique, à propos de l'abandon du droit de préemption de l'Etat», estimant connaître le Président assez bien pour conclure que cela ne ressemble pas à la personnalité de Abdelaziz Bouteflika. Khalida Toumi, ancienne ministre de la Culture, l'une des personnalités signataires de la lettre adressée au président s'interroge elle-aussi sur la véracité de certaines décisions, qu'elle n'imputerait pas à Abdelaziz Bouteflika, soutenant lors de la conférence de presse que «la délégation des 19 personnalités «voudrait lui-parler, pour constater si le président est au courant ou pas, sur la dégradation des institutions de l'Etat dans un contexte des menaces extérieures inquiétantes». «Remettre en cause le droit de préemption, qu'avait toujours défendu le président comme un héritage sacré, un principe incessible et inaliénable n'a jamais fait partie du programme du président», soutient Mme Khalida Toumi en s'appuyant sur ses expériences de ministre auprès du chef de l'Etat.

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