Ce sont des timides manifestations desdits «Gilets-jaunes» qui se sont déroulées en France durant cet acte VII. En perte de vitesse, les militants de ce mouvement n'ont rien trouvés que de s'attaquer aux médias les accusant de désinformation. «Journalistes Collabos», était le principal slogan de cette nouvelle «manifestation» qui n'a rien à voir avec les revendications sociales. Quelques 12000 «Gilets Jaunes» ont manifesté sur l'ensemble du territoire français contre 38000 le samedi dernier. A Paris, ils étaient prés de 800 militants de ce mouvement qui se sont rassemblés selon les chiffres de la préfecture de police de Paris. Contrairement aux autres rassemblements, aucun incident n'a été enregistré dans la capitale Française qui se prépare à accueillir la fête de la Saint-Sylvestre et le passage à la nouvelle année 2019. Les présumés «Gilets-Jaunes» ont appelé également à manifester aux Champs-Elysées le 31 Décembre la fin de 2018 et l'arrivée du nouvel an 2019. Ce qu'il faut retenir de ce dernier Samedi est la montée du mépris et des agressions verbales par les présumés militants des «Gilets-Jaunes» à l'encontre des journalistes. Plusieurs centaines d'individus ayant des «Gilets-Jaunes sur le dos se sont rassemblés devant le siège de BFMTV, à l'appel de l'un des fondateurs de ce mouvement Eric Drouet. La foule en colère a scandé des slogans à l'encontre des journalistes dénonçant selon eux la désinformation de cette chaine de télévision. A signaler que c'est sur cette chaine de télévision «BFMTV» que ce fondateur des «Gilets-Jaunes» a déclaré que son mouvement allait «marcher sur l'Elysée». Nous ne voyons pas où se trouve la désinformation, si les propos de cet individu ont été passés en direct sur les écrans de BFMTV. A la suite de ces propos jugés dangereux, le parquet a ouvert une enquête à la demande du Préfet de police. Il a été interpellé encore une fois samedi dernier dans un quartier de Paris mais cette fois-ci par la gendarmerie. Placé en garde à vue, il a été relâché avec une convocation dans la poche à charge pour lui de se présenter devant le tribunal le 5 juin prochain. Il est poursuivi pour «port d'arme prohibé de catégorie D» et pour «participation à un groupement formé en vue de violences ou de dégradations». Lors du rassemblement devant le siège de BFMTV, des heurts ont éclaté avec les forces de police qui ont procédé à plusieurs interpellations. La foule des «gilets jaunes» s'est rendue par la suite au siège de France Télévisions. Des rassemblements de ce mouvement ont été signalés également devant France 2 et le siège du journal «Le Parisien» où plusieurs véhicules huit(08) voitures et une moto ont été incendiés. Il s'agit probablement d'un incendie accidentel selon certaines sources. Le Ministre de l'intérieur a réagi sur cet incident sur sa page Twitter, indiquant, je cite : «Le feu est maîtrisé. Une enquête est en cours pour en déterminer les causes». Partout ou les manifestants de ce mouvement se sont déplacés, le seul Slogan à l'encontre des journalistes était est le suivant : «Journalistes Collabos». Dans notre édition du Lundi dernier, nous avons déjà signalés la haine qui montait à l'encontre des journalistes et des forces de l'ordre par les présumés «Gilets-Jaunes». Au Puy en Velay, des slogans similaires à l'encontre des journalistes ont été entendus. Une contre-manifestation s'organise, elle est prévue le 27 janvier 2019 Les pro-Macron et ceux qui soutiennent le jeune Président Français et ont décidé de répliquer audit «Gilets Jaunes». A travers les réseaux sociaux, ils appellent à manifester le 27 janvier 2019. Ces derniers qui ont décidé de soutenir les pro Macron ont indiqué qu'ils ont fait ce choix par rapport à la violence des «Gilets Jaunes» qui ont franchi la ligne rouge, ont-ils expliqués. Nos interlocuteurs ont indiqué que les individus qui continuent de manifester sont des militants de l'extrême droite et de l'extrême gauche. Ces derniers devaient ajouter que les vrais «Gilets-jaunes» sont plus dans la rue mais chez eux». «La principale revendication était l'annulation des taxes sur les carburants. Les taxes ont été annulées et nous ne comprenons pas les raisons à continuer à manifester», nous a indiqué Christophe. «En plus de la violence contre les forces de l'ordre et contre les institutions de l'Etat, Ils veulent le départ non seulement du chef de l'Etat mais ils appellent au soulèvement pour renverser le pouvoir», a-t-il ajouté. En colère également «les anti -Gilets-jaunes» ont indiqué : «Les revendications de ceux qui ont pris la place des «Gilets-jaunes» sont à la fois «fantaisistes» et très graves, il faut que sa s'arrête», ont-ils fait savoir. L'affaire de la jeune femme en grève de la faim fait couler beaucoup d'encre (Haute Loire) Ils étaient environs une centaine de «Gilets Jaunes» qui ont manifesté au Puy en Velay dans le département de la haute Loire. Les manifestants ont marché comme d'habitude devant la préfecture avant que la foule ne s'éclipse. Si la mobilisation des gilets-jaunes est en forte baisse dans ce département, l'affaire de la jeune femme en grève de la faim continue à faire couler beaucoup d'encre. Cette jeune femme a entamé une grève de la faim au centre ville du Puy en Velay (Place du Breuil) pour protester contre la décision de la juge des enfants, l'interdisant de rencontrer sa fille pendant 3 mois. La fille de cette jeune femme a été placée par la même juge dans un centre d'accueil pour enfant dont le siège se trouve dans la commune de Chambon sur Lignon. Interrogée par nos soins, la jeune femme a indiqué qu'on lui a reproché d'être trop fusionnelle avec sa fille. Plusieurs citoyens et internautes trouvent que la décision de séparer des enfants de leurs parents est un acte inhumain. «Si les animaux refusent de se séparer de leurs petits, comment peut-on le faire avec des êtres humains», a indiqué Bernard. Pour en savoir plus à ce sujet, nous avons rencontré le substitut du procureur du tribunal du Puy en Velay. «On ne peut pas donner d'information à ce sujet, ce n'est pas une affaire pénale», a-t-elle déclaré. Ainsi, après les habitants du village de Tence, les «Gilets-Jaunes» et les citoyens du chef lieu de wilaya qui se sont solidarisés avec la jeune femme, c'est le Président du département en personne qui s'est déplacé au centre ville pour la rencontrer. «Le Président du département s'est entretenu avec la jeune femme et n'a pas manqué de déclarer que cette histoire l'a énormément surtout en ces jours de fêtes. Il a réussi à convaincre la jeune femme de suspendre sa grève de la faim avec une promesse de discuter avec la juge des enfants. La juge des enfants se trouve actuellement en vacance, a-t-on appris des proches de la jeune femme. Sur place, des voisins de cette jeune femme n'ont pas manqué de témoigner, la bonne relation qu'ils entretenaient avec cette dernière. «J'habite à côté de Sandrine, c'est une femme sympathique et adorable. Sa fille pratiquait le sport avec ma fille et n'avait pas de problème», a-t-elle fait savoir. Affaire à suivre.