«Je crois que nous sommes, en ce jour, à l'image du pays, préoccupés et en colère», a déclaré Lucie Castets à même proposé que «dans les semaines qui viennent, dans l'ensemble de la France, le Nouveau Front populaire reparte à l'écoute de la population», alors que le président Macron avait écarté en début de semaine l'hypothèse d'un Gouvernement du NFP.Depuis plus de 50 jours que l'Elysée n'a encore décidé de nommer un Premier ministre et cela après la démission du Gabriel Attal de son poste, juste après les élections législatives remportés pas la coalition de gauche, une situation grave et inédite qui vie l'Etat français de puis des décennies, le président Emmanuel Macron qui refuse catégoriquement la nomination au poste de Premier ministre Lucie Castets une proposition faite par le LFP, et il s'oppose à cette suggestion, qui a suscité la colère de la coalition et à leur tête Jean-Luc Melenchon le chef de file du d LFI, qui menace d'une manifestation grandiose le 7 septembre prochain, sans oublier la cheffe des Ecologistes, qui va jusqu' à demander la destitution du président de la République suite à ses passions constitutionnelle selon elle qui mène à un blocage politique. Dans le cadre des journées d'été du Parti socialiste la candidate du LFP au poste de Premier ministre a pris la parole lors du meeting : «Je crois que nous sommes, en ce jour, à l'image du pays, préoccupés et en colère», a déclaré Lucie Castets à même proposé que «dans les semaines qui viennent, dans l'ensemble de la France, le Nouveau Front populaire reparte à l'écoute de la population», alors que le président Macron avait a écarté en début de semaine l'hypothèse d'un gouvernement du NFP. Le premier secrétaire du PS a vigoureusement nié toute opposition interne «entre ceux qui seraient favorables au compromis et ceux qui ne le seraient pas», au deuxième jour des journées d'été du parti à Blois. Alors que ses opposants critiquent sa stratégie vis-à-vis d'Emmanuel Macron, Olivier Faure estime que derrière la volonté d'imposer Lucie Castets à Matignon, «il y a la volonté de faire respecter le vote des Français», et de mettre en place les mesures du programme du NFP. L'écologiste Marine Tondelier a estimé que le chef de l'Etat était dans une «stratégie du pourrissement». «Sa stratégie, c'est de se dire que les gens en ont tellement marre de ne pas avoir de Premier ministre que les Français accepteront n'importe qui». Par ailleurs, Karim Bouamrane (PS) se dit «en capacité» de devenir Premier ministre si la proposition se concrétise, en construisant des «compromis». Son nom a été évoqué pour Matignon ces derniers jours, au même titre que d'autres représentants de la gauche modérée, comme l'ex-Premier ministre Bernard Cazeneuve. D'autre part, Nicolas Sarkozy appelle (Là œuvrer» pour «faire nommer un Premier ministre de droite». «La gravité de la situation d'aujourd'hui impose de changer de stratégie et d'assumer la responsabilité de gouverner», lance l'ex-chef de l'Etat à l'adresse de sa famille politique dans un entretien au Figaro. Il juge que l'ex-PS Bernard Cazeneuve, cité parmi les pistes pour Matignon, n'est pas «en adéquation avec le centre de gravité de la politique française». De Marseille,