Dans une France pays de la démocratie et la liberté d'expression par excellence qui se base sur liberté, égalité et fraternité, vit actuellement une crise politique sans précèdent, cette crise qui pourra mener le pays vers des dérives grave selon les personnalités, et les partis politiques, surtout de gauche, qui se sentent bafoués dans leur droits, eux et leurs électeurs qui ont choisi avec conviction leurs partis politiques respectivement le LFP, cette coalition de gauche, elle a cru à une démocratie pluraliste, elle se trouve lésée de ses droits politique malgré les tentatives du pouvoir macroniste en place et une complicité flagrante de l'extrême droite qui à «kidnappé» le pouvoir en France, dénoncé par toute la classe politique et la société civile. Le parti communiste français, parmi la classe politique qui garde sa ligne de conduite proprement et dans une démarche purement démocratique et pluraliste pour un projet de société avant-gardiste progressiste et républicain, cri haut et fort au scandale commit par l'extrême-droite et ses alliés pour que LFP n'accède pas au pouvoir, malgré sa large victoire aux législatives de juillet dernier. Devant cette situation, le PCF reste ferme dans ses positions et dénonce la nomination d'un Premier ministre «illégitime» désigné abusivement et contre la volonté du peuple. La section PCF, du 15e à Marseille, prend l'initiative pour débattre entre militants de la situation politique actuelle qui traverse la France et trouver des solutions, chapeauté par secrétaire de section, Joël Dutto, il a émis un communiqué adressé aux militants pour la tenue d'une éventuelle assemblée. «La France affronte sa plus grave crise politique et démocratique depuis l'origine de la Ve République. Le président de la République, sévèrement battu aux élections européennes, a cherché à relégitimer son quinquennat en procédant à la dissolution de l'Assemblée nationale. Le résultat a été sans appel, le camp présidentiel a été de nouveau très largement sanctionné. Le sursaut républicain a permis de contrecarrer l'objectif affiché par le RN d'obtenir une majorité à l'Assemblée nationale et malgré sa forte progression il n'a pu accéder au pouvoir. A contrario, c'est le Nouveau Front populaire qui obtient le plus grand nombre de sièges et, à ce titre, légitime pour diriger un gouvernement de gauche. Depuis le lendemain des élections législatives, Macron a tout mis en œuvre pour dénaturer le résultat des élections, quitte à décider un coup de force antidémocratique en nommant comme Premier ministre un représentant de la droite, ultra-minoritaire, en la personne de Michel Barnier. Ainsi, le refus présidentiel de désigner Lucie Castets comme Première ministre est avant tout la marque du rejet de tout changement de politique dans le sens porté par le programme du Nouveau Front Populaire. Au-delà des arguments utilisés, c'est en réalité une peur effroyable de la droite, son extrême et des représentants du capital, de voir mis en œuvre le programme du NFP qui s'inscrit dans une autre logique que celle du libéralisme. Néanmoins, les communistes ne peuvent se satisfaire de ces résultats qui se sont traduit, avec 2,37% des suffrages, par un recul à l'occasion des Européennes et aucun élu.e.s au parlement européen ainsi la perte de quatre député.e.s à l'issue des élections législatives. Alors que tout appelle, dans notre pays, à une rupture avec les logiques et politiques capitalistes, le PCF porteur d'un projet de transformation de la société pour plus de justice sociale, de répartition des richesses, de respect de l'environnement et plus de démocratie, n'arrive pas à capitaliser sur son nom les voix de celles et ceux qui ont tant besoin de changement. Nous ne pouvons faire l'impasse sur cette situation, c'est le sens de la décision du Conseil national qui dans sa session du 7 septembre dernier, a décidé de convoquer une Conférence nationale des communistes pour décembre prochain. Afin de réfléchir ensemble à la situation et échanger sur les moyens de construire l'alternative politique.