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En attendant la réouverture du palais du Bey: Un lifting pour la place Si El-Haouès
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 24 - 05 - 2009

La place colonel Si El-Haouès (ex-place du Palais), transformée dans un passé récent en parking «sauvage» pour voitures, est en cours d'évacuation ces derniers jours de ses squatters, et ce pour les besoins d'un aménagement imminent, alors que beaucoup dans la ville pensent qu'il serait annonciateur d'une prochaine ouverture au public du palais Ahmed Bey. En effet, l'exécutif de l'APC s'est résolu finalement à donner corps au projet d'aménagement de l'ex-placette du palais à l'effet de lui rendre son cachet d'avant, où «convivialité et loisirs étaient les signes distinctifs», comme aimaient à le répéter plusieurs riverains.
Quoi qu'il en soit, selon le directeur des réalisations de la mairie de Constantine, le lifting projeté «vise d'abord à débarrasser l'endroit de certaines activités illégales, à l'instar de l'aire de stationnement pour voitures qu'elle est devenue, mais aussi de certains commerces, comme le café jouxtant le palais du Bey, qui sera délocalisé vers un autre site».
Et notre interlocuteur de poursuivre : «Notre intervention d'aménagement et de réfection ne consiste pas seulement en des interdictions et transferts d'activités, elle comporte également d'autres volets, comme la transformation de l'espace à l'entrée de la place en venant de la rue Didouche Mourad, actuellement occupé par un kiosque, par des boutiques de fleuristes, la création d'espaces verts ainsi que l'aménagement de toilettes publiques». Et d'ajouter que «la place, une fois les contours définitifs de ces dispositions réalisés sur le terrain, sera illuminée par un système d'éclairage recherché et artistique, sortant en tout cas de l'ordinaire». Questionné sur le montant de l'enveloppe financière allouée à cette opération, notre interlocuteur a refusé de donner le moindre chiffre, «pour des raisons concurrentielles».
Par ailleurs, et pour ce qui concerne les travaux de restauration du palais Ahmed Bey et son éventuelle ouverture aux visiteurs, dont il y a lieu de dire que beaucoup d'entre eux commencent à ne plus y croire tellement celle-ci a fait l'objet d'annonces tonitruantes à plusieurs reprises, mais toujours démenties en bout de course.
Pour le pilote en chef des travaux de restauration, M. Badjadja, «maintenant, avec ce projet de rénovation de la place du palais, cela revêt un sens que de parler d'une éventuelle ouverture au public du palais lui-même. Parce qu'auparavant, il était pour ainsi dire inconcevable d'imaginer l'ouverture aux visiteurs de ce joyau architectural de la ville qu'est le somptueux palais Ahmed Bey, dans l'anarchie et la cacophonie indescriptible qui en emplissaient les alentours».
Toutefois, sans avancer de date précise, notre vis-à-vis indique que «ce qui reste des travaux est assez délicat. Il s'agit de finitions, nécessitant le concours de nombreux petits artisans, entre dinandiers, ébénistes et céramistes, pour l'accomplissement de tâches minutieuses de revêtement délicat, de reproduction et d'autres menus travaux dans la menuiserie et marbres anciens, d'où la lenteur du chantier».


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