Aïn Beïda semble grandir dans l'anarchie tellement les conditions de vie déplorables sont annoncées çà et là. Les habitants des cités El-Mostaqbel, Haraktas (extension), Ibn Rochd, Site (1) dénoncent les conditions déplorables dans lesquelles ils vivent. Bien que les services habilités s'attellent, ces derniers jours, à goudronner certaines vieilles cités (Lazabi, Murienne, Poids lourds), des artères, comme celle de la cité El-Moustaqbel ou Haraktas ont été oubliés. Dans une pétition adressée aux services habilités, les riverains déplorent le manque d'avaloirs et goudrons, ce qui rend les lieux invivables surtout en période hivernale. En effet, le bitumage des routes et chaussées du Site (1) deviennent des sources de maux en hiver comme en été. Les services des urgences enregistrent plusieurs évacuations de gosses mordus par des scorpions qui s'y trouvent tellement la broussaille et mauvaises herbes jonchent les alentours. L'autre problème dû aux eaux pluviales et inondation demeure des plus épineux, avec les avaloirs qui n'ont pas été débouchés depuis des années. Un SOS est lancé aux autorités locales pour une réelle prise en charge des préoccupations des riverains dont toute doléance est demeurée sans écho.