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Sidi Bel-Abbès: La menace du vieux bâti
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 18 - 10 - 2010


A l'ombre des belles avenues, vitrines révélatrices du centre-ville belabbésien et tout le côté cour… subsistent de réelles menaces qui guettent de nombreuses familles qui résident, à ce jour dans de vieilles bâtisses… En somme c'est le vieux bâti en général qui est évoqué ces jours-ci. Ce n'est pas, en effet, la seule préoccupation, mais la situation dans laquelle se trouve une bonne partie de la cité Kaïd Rabeh, mitoyenne au cimentière «Sidi Bel-Abbès», au nord-ouest du chef-lieu, fait que les habitants viennent de tirer la sonnette d'alarme avant la catastrophe… La menace est là soutiennent-ils. Il ne s'agit pas là de bâti édifié durant l'ère coloniale, ou, en certains endroits datant de plus d'un siècle… Car certaines habitations restaurées et entretenues régulièrement sont très bien conservées; le patrimoine bâti concerne des édifices récents, même publics, construits à la hâte… oserions-nous le dire, pour pallier une urgence… telles certaines écoles primaires qui présentent, selon nos sources, un danger pour les enfants et les enseignants. Et que dire alors des vieilles écoles… d'où sont sorties des sommités de renom, inconnues des jeunes générations? Nous ferons abstraction de toutes les incohérences architecturales de plusieurs sites qui ont vu s'opérer des travaux pour création de commerces avec une bénédiction et autres complaisances qui ont terni l'espace censé être un secteur protégé par la réglementation en vigueur… Passons au centre-ville où de nombreuses habitations dont le bâti est sérieusement ébranlé, sont occupées soit par des familles parfois nombreuses et avec lesquelles cohabitent des bureaux d'avocats, de métiers privés tentés par les faibles coûts de location par apport à d'autres nouveaux immeubles spécialement conçus pour ces activités lucratives. Souvent, en plein centre-ville, l'on apprend que dans telle rue, une habitation s'est effondrée. L'exemple le plus récent s'est déroulé dans la rue Commandant Ferradj (ex Gambetta), une artère des plus commerçantes qui a connu cet été bien des déboires. L'on relèvera que des efforts ont été entrepris pour y remédier au niveau du réseau d'assainissement et ce, non sans avoir irrité les riverains et autres habitants de la ville. Nous avons vu, tout de même, que certains immeubles tels celui de l'avenue Larbi Tebessi (ex-Prudon), en face de l'immeuble le Prado, vient d'être retenu pour une réhabilitation qui se fait attendre, au vu des dates figurant sur l'écriteau annonçant sa prise en charge. Comme on l'avait annoncé dans nos précédentes colonnes, pour le déficit de l'éclairage public, d'autres dysfonctionnements subsistent, à l'instar des menaces du vieux bâti, nécessitant une prise en charge… la voirie, le commerce informel, qui en otage l'un des plus beaux monuments architecturaux de la ville, «La Coupole» promue centre d'orientation touristique, ainsi que d'autres aléas de la quotidienneté des citoyens (es). Les interpellations continuent… L'urgence pour y remédier est signalée de nouveau.

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