Le tribunal correctionnel de Mohammadia wilaya de Mascara aurait infligé avant-hier après midi une peine à l'encontre du propriétaire de l'hotel « el Obour » le dénommé (B.A) âgé de 57 ans qui aurait fait parler beaucoup de lui ces derniers temps, aurait écopé de trois ans de prison ferme pour le délit de création de lieu de débauche et de prostitution. Une peine moindre que vient de subir la dénommée (B.H) âgée de 27 ans et qui n'est autre que l'épouse du principal inculpé condamnée à (2) deux ans de prison ferme, dont la date d'incarcération serait retardée provisoirement pour suivie de sa grossesse jusqu'à l'accouchement. Quant à l'employé, le dénommé (T.J) aurait écopé de la même peine que l'épouse du propriétaire de l'hôtel. Quant aux restes des clients au nombre de 16 aurait été condamnés d'une peine de (8) huit mois de prison ferme dans un procès passionnant où la salle d'audience du tribunal serait devenue trop exigüe vu le nombre important de coupables. Dans cette audience, le principal inculpé aurait avancé qu'il n'était pas au courant des évènements qui se passaient le jour de la perquisition de l'hôtel par les forces de l'ordre de la gendarmerie nationale en date du 25 juin 2009, après la délivrance d'une autorisation du procureur général prés le tribunal de Mohammadia. Par contre les clients auraient reconnu les faits et avançaient qu'ils ont payé le montant de 2000 DA à l'épouse du propriétaire de l'hôtel vue que c'était elle qui aurait été responsable de l'accueil. A rappeler aussi, selon la source d'information que l'hôtel en question serait fermé pour le moment suite à une décision judiciaire pour le délit de création de lieu de débauche et de prostitution, suivi d'une saisie de trois voitures appartenant à des clients en état d'arrestation parmi eux un militaire résident à Khemis Miliana relevant de la wilaya de Ain Defla, un entrepreneur résident à la commune de Stidia relevant de la wilaya de Mostaganem, alors que le reste réside dans les environs de la région, à l'exception de (3) trois filles célibataires habitent à la cité « sidi el kader » au sud de Mohammadia. Selon la même source, ce procès aurait enregistré quelques cas d'étourdissement de la part des familles des filles inculpées, présentes à la salle malgré la chaleur qui y sévissait à l'intérieur.