M. Charara A.E K ayant travaillé comme manœuvre au sein de l'entreprise EPE/SERA/SPA dont le siège social se trouve (route de Messerghin à Oran) prétend être victime d'une injustice de la part de ses responsables tout en présentant des pièces justificatives comme preuves à l'appui. En effet cette personne âgée de 55 ans et père de 5 enfants s'est vu son droit bafoué car le destin a voulu qu'elle tomba malade et que son cas s'aggrava à cause des aléas de l'administration .M. C. AEK dont le lieu de résidence se trouve dans la Wilaya de Mostaganem a travaillé tranquillement dans cette entreprise jusqu'au jour où il a été muté dans la wilaya de Tiaret .Ayant eu plusieurs bronchites à cause des risques inévitables de son travail ,il contracta la tuberculose. Après des consultations systématiques, ses médecins traitants lui déconseillent le climat sec. Il se rend à l'entreprise muni des certificats médicaux dans l'espoir d'une compréhension de ses supérieurs.Il croise donc le DRH qui lui rejeta sa demande et lui refusa l'audience du directeur. M.C.AEK ne trouve d'autre solution que celle d'insister en multipliant le va et vient de Mostagnem à Oran pour obtenir gain de cause mais en vain. Après plusieurs tentatives, ses supérieurs lui suggèrent de patienter .Il prend son mal en patience et attend durant 4 mois ‘'cette infime lueur d'espoir''pour lui-même dont (l'état de santé se dégrade chaque jour et sa famille restée sans ressources). A cet effet, M.C. AEK confronté à cette austérité adressa une plainte à M. l'inspecteur du travail qui resta sans écho .Après 2 ans d'arrêt de travail,et après avoir frappé à toutes les portes ,il se dirigea vers la justice :le procureur lui recommanda de se rendre à sa direction pour que sa situation soit régularisée , seulement , il se heurta de nouveau aux mêmes problèmes. Après avoir épuisé tous les recours internes, ce pauvre fonctionnaire saisit le Tribunal administratif dans l'espoir de faire pression sur l'administration de l'entreprise EPE/SERA en vue de se faire réintégrer, mais, cette dernière exprime son refus et rejette sa demande de réintégration. Ainsi après tout cet eternel parcours de combattant, le malheureux, M. Charara A.E K, aujourd'hui père d'une famille nombreuse , atteint d'une maladie grave ,ne pouvant même pas payer ses médicaments ou subvenir aux besoins de ses e nfants se trouve livré à son sort et jeté comme un ‘'kleenex'' , après avoir sacrifié toute sa vie pour cette entreprise. Après ce triste récit, ne serait-il pas temps pour cette entreprise algérienne de réviser sa décision , pour sauver la famille de ce misérable de la précarité évolutive .M.AEK ,implore les parties compétentes pour reconsidérer son cas afin de mettre fin à son calvaire.