De par la mission de police forestière, le secteur des forêts participe également à la protection et à la mise en valeur des terres à vocation forestière et des bassins ainsi qu'à la conservation des sols et à la culture contre la désertification tel est l'exposé des dispositions contenues dans l'avant projet du décret exécutif portant statut particulier applicable aux fonctionnaires du corps spécifique de l'administration des forêts qui vient d'être discuté le jeudi dernier au niveau de l'institut de l'agriculture de Ain Témouchent et qui a vu la participation de 10 représentants de la section syndicale UGTA, représentant chacun, une wilaya de l'ouest. La rencontre qui a été présidée par M.Takkouk Abdelmadjid président de la coordination nationale du syndicat nationale des forestiers et assimilés assisté de l'ensemble des nombres du bureau national ont débattue longuement le statut particulier des forestiers, où il ont appelé la direction générale à sa penche sérieusement sur l'amélioration des conditions première sachant que le forestier est un contacte directe avec la population rural et ont charge l'exécution des projets PPDRI initié par le président de la république, passant la parole au membre du bureau national et représentant des travailleurs de la direction des forets de la wilaya de Tipaza, ce dernier affiche clairement sa mécontentement devant l'assistance en qualifiant d'abord les responsables de wilaya « d'empereur » et dira la conséquence qu'après l'approbation du statut, se sera le tour de la grande lessive. Par ailleurs, et selon le président du bureau nationale soit 30% du personnelle forestière à l'échelle national vont partir en retraite dont 3 années, c'est pourquoi dira notre inter locuteur, qu'il faut imposer une nouvelle vision pour future le forestier et préserver toutes, les acquits de l'UGTA mis à mis des travailleurs, et cela par le millerandisme de proximité. Les intervenants et à l'unanimité ont discuter sur la valorisation du point indiciaire. La promotion, les positions statutaires l'avancement la mobilité, la formation de l'agent forestier, l'évaluation et enfin la nomenclature des corps. M.Abdelmadjid, répond à toutes les préoccupations des forestiers intervenants sans pour autant critiquer ni administration locale, ni celle la centrale, et dira tout gentiment que le rôle du syndicaliste, doit revaloriser les corps des fonctionnaires notamment ceux des forestiers appelés au chantier et cela par une évaluation des carrières souple et harmonieuse et une élévation du niveau de base pour qu'il soit adaptable avec le statut général de la fonction publique.