Le tribunal criminel de Mascara à traité avant hier dimanche de 13 à 22 heures ,sur une affaire de crime crapuleux ,pleine de suspens, jugée par le doyen des magistrats et représenté par le procureur général qui fait avocat de la partie civile, une affaire avec des révélations, du doute et des points noirs . La faille préliminaire a été endossée à la police qui dit on n'est pas allée au fond des choses, laissant la Cour élucider ce mystérieux crime. Le président du tribunal a usé de toutes ses facultés juridiques, de son savoir-faire et de son expérience pour trouver comment arriver à dénouer le nœud du crime, en mettant à l'aise et dans la transparence totale l'accusé et les avocats pour faire sortir la vérité. Genèse de l'affaire : le mois d'avril de l'année 2015 un ex-Darki en retraite, marié à une enseignante, habitant un F3 à Mascara, rentre à la maison. Une dispute éclate entre lui et sa femme qui se jeta sur elle, lui torde le cou, elle s'effondre raide parterre, puis la frappe, selon l'acte d'accusation. Les dires de l'accusé : « la femme se rend à la cuisine prend une bouteille d'essence qu'elle asperge sur sa tête et met le feu, son mari voulant l'empêcher, se jette sur elle pour éteindre le feu, elle s'écroule parterre, transportée à 'hôpital pour les premiers soins ensuite transportée à Oran, elle rend âme. Le mari est le premier accusé du crime, il est incarcéré. A la barre, l'accusé déclare qu'il était constamment en dispute avec elle, c'est pourquoi, ils se sont séparés faisant chambre à part, il affirme que ses beaux-parents sont venus lui présenter leurs condoléances, l'avocat de la cour n'était pas d'accord; il était convaincu de la culpabilité du mari. que faisait la bouteille d'essence à la cuisine ? Elle t'appartient ? et c'était ton briquet ? L'accusé ne s'affole pas et répond par la négative. Les parents, le père et la mère de la victime, appelés à la barre nient avoir présenté les condoléances au mari. ‘'Au contraire, c'est à lui et ses parents de venir, ils ne sont jamais venus'', et d'ajouter que leur fille avant de mourir a déclaré ‘'oui, j'ai mis l'essence sur ma tête, mes yeux me faisaient mal je cours à la salle de bain pour me laver et j'entends derrière moi un clic et c'est le feu et voilà la femme d'ajouter Kwani;Kwani mais j'ai 2 enfants et c'est là que le procureur était convaincu de la culpabilité du mari et dans un réquisitoire émouvant, il prononce la peine capitale. La défense plaide la non culpabilité et se pose sur le doute et le jury convaincu du doute prononce la relaxe.