Où que vous soyez, en ville, dans les quartiers, sur les grands boulevards,marchés ,gare routière ou dans les grandes cités ,voici que ces véhicules banalisés ,sans crainte aucune des actions des autorités répressives ,permissives en ce cas pour ne pas dire passive ,vous hèlent ou vous interpellent pour vous proposer de vous conduire là où vous le souhaitez , en toute impunité ,à toutes heures de la journées et même la nuit tombée. Devant certains arrêts et stations de taxis réglementaires, ces clandestins très actifs « cohabitent » avec les vrais professionnels qui, interrogés ,répliquent qu' en l'absence totale de contrôle et de sanctions de l'autorité ,ces "taxieurs" clandestins qui pilules ( qui ne le sont plus du faite qu'ils exercent en toutes impunités au vu et au su de tous) imposent leurs présences ,leurs dictats et leurs lois qui somme toute ,sonnent comme devrais défis . Oui des défis pour parler d'un seul exemple .Celui de la station de la cité MGHU est édifiant .Bien que les agents de l'ordre chargés du trafic routier sur ce grand carrefour soient à moins de 50 mètres, ces taxis clandestins, embarquent, sans gène aucune et sans crainte l'avons-nous dit des clients, à la barbe des vrais taxis qui n'osent rien contre eux ,se sachant non protégés. Cependant ,nous avons observés et ressenti que la colère grande chez ces professionnels et qu'un dérapage pouvant mener à des actions répréhensibles n est pas à écarter faute d'actions fermes de la part des autorités ,qui pour l'instant croit-on ferment les yeux pour des raisons que nous ignorons sauf que les lois et les règlement restent bafoués . Les déclarations du nouveau chef de sureté de wilaya lors de son installation avaient suscitées de bons espoirs auprès des populations désemparées par les ampleurs de toutes ces atteintes. Cependant malgré ces assurances, les motards continuent à griller impunément les feux rouges sous les regards passifs des agents de l'ordre et ces taxis clandestins prolifèrent partout, à cotés des ces parkings sauvages qui ne finissent pas d 'étendre leurs territoires dont l'un se situe justement juste en face du commissariat central. Doit-on croire que ces déclarations rassurantes n'avaient pour objets que des effets d'annonce comme celles qui avaient précédées de tous ces nouveaux venus aux affaires publiques ? Convainquons nous du contraire car, en poursuivant sur ces voies, les dérives en tout sont toutes proches . Chômeurs, enseignants ,fonctionnaires ,retraités , travailleurs du secteurs économiques , privé ou public ,tous ces conducteurs se reconvertissent en taxieurs clandestins occasionnel et activent partiellement ou à temps plein ,certes pour arrondir leurs fins de mois ,sans assurance et sécurité mais sans doute au détriment de ceux qui s'organisent et paient leurs impôts et leurs charges à l'état qui a la charge et le devoir de les organiser et t de les protéger surtout .