Selon des chiffres avancés par des sources responsables aux urgences médicales, relevant du CHU d'Oran, 60% des cas sollicitent quotidiennement ce service, pour des fractures diverses, dues le plus souvent à des accidents de la circulation ou domestiques. Une situation qui crée un encombrement au niveau de ce dit service. Idem pour la clinique Fellaoucen. Des sources médicales ont fait allusion aux problèmes qui lèsent le service des urgences, vu l'encombrement que connaît ce service et la multitude de cas, souffrant de fractures et qui sont quotidiennement réceptionnés dans ce dit lieu, soit 60% des cas sollicitant ce service sont traités pour des fractures dues à des accidents routiers ou domestiques. Même la clinique Fellaoucen souffrirait du même problème et connaît une crise d'indisponibilité de lits, tellement les patients sont nombreux. Cette situation se complique davantage, le week-end, vu que le personnel est considérablement réduit. Concernant les cas qui viennent solliciter le service pour des urgences médicales autres que des fractures, il leur est consacré qu'un seul médecin généraliste, une donnée ayant engendré des tensions quasi quotidiennes, entre les proches des malades et le personnel de service. D'une autre part, le peu d'infirmiers fait que les patients sont obligés d'attendre longuement, pour de simples soins. Pour information, les urgences médicales relevant du CHU d'Oran ont recensé, l'année dernière, 218.444 patients, l'équivalent de 598 cas par jour et on apprend que le nombre de patients, transférés quotidiennement vers les différents services de l'hôpital a atteint les 13 cas.