Je ne voudrais pas être sa place. Une place qui me semble de plus en plus inconfortable. Je ne sais pas jusqu'à quand il tiendra comme çà, mais déjà, là, je lui trouve de « formidables » capacités d'endurance. Qui lui ? Mais Abdelhak Bencheikha, voyons. Vous tiendriez, vous si, à peine nommé à la tête des Verts et ouvrant tous les matins les journaux vous découvrez un jour que l'on veut vous adjoindre un entraineur en second répondant au nom de Roland Courbis, un autre jour que cet entraineur en second serait plutôt Vahid Hallilodzich ou encore un autre jour que votre adjoint pourrait bien être Nacer Sendjak ? C'est terrible tout de même. Il y a de quoi douter de soi même, de travailler sous pression et de s'attendre à tout moment au limogeage. Au-delà de l'aspect strictement technique et de compétence, je trouve le procédé pas très élégant et manquant même carrément de bienséance. On ne nomme pas un coach pour, tout de suite après faire planer au-dessus de sa tête les noms en farandole de ses possibles remplaçants. Remarquez, Bencheikha peut aussi décider que ce traitement pas très amical n'a que trop duré et démissionner. Il ne l'a pas fait. Donc ? Et bien, donc...à demain ! [email protected]