L'entité sioniste tue à tue-tête tout ce qui bouge, bombarde la vie, la faune, la flore et les journalistes, assassine des enfants, explose des couveuses et des bébés prématurés, torpille des écoles et des hôpitaux, laboure des tombes, profane des (...)
«Il n'y a plus de moineaux qui piaillent dans le ciel de Ghaza, plus de mouettes dans son rivage, plus d'oliviers dans ses monts, plus de moutons qui bêlent dans ses prés, plus d'enfants qui gambadent dans ses ruelles ou se rient de la misère des (...)
Quelqu'un qui refuse la paix attise le feu, dit non à un cessez-le-feu, soutient un bandit criminel ne peut être d'une race humaine. C'est une espèce digne des sans scrupules hideux de duel, rodéo, potence, pendaison, bank, saloon, rançon et de (...)
La guerre ? La solution la plus abominable pour résoudre un problème. Elle devient donc le problème le plus inextricable pour toute solution. L'entité sioniste ne mène plus une guerre, elle ne fait en fait que la perdre. Sans le soutien (...)
L'on ne se surprend plus de la mort de quelques Palestiniens, jusqu'à dire qu'ils ne sont destinés qu'à cela. Le plus surprenant est de voir qu'en face, il y a des soldats israéliens qui se font tuer chaque jour. Quelle armée mondiale suréquipée (...)
Le rapport de force est flagrant. L'écart entre un monstre sauvage super armé et des «animaux humains» munis que d'une foi et d'un idéal est abyssal. Néanmoins, les armes parfois n'ont pas le dernier mot. La mobilisation de tous les peuples du monde (...)
Seuls les Etats-Unis d'Amérique sont capables d'arrêter l'hécatombe. La décision d'un cessez-le-feu est en leur exclusive possession. Ni le Conseil de sécurité biaisé par le jeu du véto, ni l'Etat hébreu entrepreneur de la tuerie, ni l'Europe (...)
Les peuples grondent et éjectent leur colère dans la rue contrairement aux conclaves et aux contacts qui se font en coulisses ou en officiel. Que peuvent faire, cependant, les manifestations d'un peu partout à travers le monde contre les tueries de (...)
La grande ou la seconde guerre, dite mondiale n'avait en fait rien d'être mondiale. Le conflit était fondamentalement euro-russo-atlantique. Les causes immédiates de la première étaient la constitution d'alliances et de revanche de l'assassinat d'un (...)
L'incursion militaire de Hamas à l'intérieur du territoire occupé est qualifiée de barbarie sauvage commise par un groupe terroriste au moment où un massacre inédit d'une population par d'incessants bombardements commis par une entité colonialiste (...)
Pour les uns, elle était un honneur et une dignité, pour les autres, elle n'est qu'un intérêt dit géopolitique. La « cause palestinienne » était un temps le ciment d'une certaine cohésion du monde arabe. C'était un temps où la lutte des peuples (...)
«Guerre » est un mot très lourd de sens. Ce n'est pas une simple opération militaire ponctuelle, c'est une fabrique de morts. Mais chez ces criminels couverts d'impunité, ça a l'air d'être un jeu de PlayStation. Elle se veut une revanche impitoyable (...)
Si l'écrivain est un architecte de mots, un concepteur de rêves et d'évasion, l'éditeur devient un entrepreneur censé rendre viable l'œuvre. Or, dans plusieurs cas, tout est absent, tout s'évapore au profit du nombre de feuillets, du bristol et de (...)
Il faut savoir quitter le continent quand il n'y a sur la table que la résistance, les coups révolutionnaires, l'éveil populaire et l'ardeur d'être enfin libre et indépendant.
Avant il y avait la colonisation directe et expéditive. Peu après, le (...)
Une religion quelconque ne se brode pas sur une machine à coudre ni se limite à une couverture qui abrite un corps. Si l'habit ne fait pas le moine, pourquoi le même habit ferait-il forcément un (e) imam (a) ?
Cette laïcité, à défendre avec toute la (...)
Echec ou opportunité ? Encore de la logorrhée qui coule à propos de ce conglomérat réuni en bloc. Pour les uns, c'est une gifle et ils prétendent à sa vérité, pour les autres, c'est autre chose, une aubaine, un appel à aller, pour voir sa face vers (...)
Fallait-il attendre un test de candidature pour que l'on soit pensif comment nous fixer à nos espoirs ? Si certains se délectent du revers et invoquent comme raisons tout un chapelet de malformation économique congénitale, de discours euphoriques (...)
On n'est plus dans un statut juridique, il s'agit d'une approche présentielle. Un constat d'une matérialité physique, peu importe le titre officiel. Un court séjour dans ce pays qui était beau dans le temps vous donnera une sensation de ne plus être (...)
Pour l'honorer ou la défendre, l'on ne doit pas brûler sa mémoire. Une marche blanche ne doit pas connaître la noirceur des cendres ou les éclats des fumigènes. Seulement le «fléau» Nahel, d'ailleurs ni le premier ni le dernier, n'est qu'une (...)
On ne tire ni sur les ambulances, ni sur les cortèges funéraires. On tire seulement une sonnette d'alarme ou une chasse d'eau pour alerter ou rincer certaines mémoires oublieuses.
Je l'ai trouvé blasé du mal de la fonction. Rasant les murs par un (...)
L'arrogance n'a de vie que dans le crâne de celui qui la professe comme un mode de gestion. Comme un guide de domination et d'écrasement de l'autre juste pour affermir, à soi-même, une illusion de maestro. Ce n'est nullement la fonction de wali ou (...)
Mais pardi ! Pourquoi fait-on cette chaîne si longue, si dense en plein centre d'Alger ? Y a-t-il un quota supplémentaire de sachets de lait ou quelques morceaux résiduels de viande fraîche brésilienne ? Eh ben, que non. Ça ne se passe pas chez (...)
Dans le temps, l'on se berçait aux douceurs du temps des cerises. On le fait, aujourd'hui autrement, car le temps est au temps des oignons. Nous pivotons dans une corbeille à moitié pleine le long des étals inabordables. Si un légume ordinaire court (...)
La mairie de Sétif est en phase de faire un travail de profondeur. La ville, malgré de multiples failles, est néanmoins en passe de redécouvrir son lustre d'antan. Ville propre, aérée, prenante, climat sec; Sétif a connu ces dernières années une (...)
Des milliers de morts, beaucoup plus de blessés, autant de disparus ; viennent témoigner malgré tout, que le monde court toujours à diverses vitesses. C'est selon le rapport controversé provenance/destination. C'est dire que les deux poids de (...)