Immense chagrin ce 28 mai, pour Coup de soleil dont il était l'un des parrains les plus fidèles, depuis plus de 30 ans : Guy Bedos vient de mourir…
Comment oublier, en particulier, ce «Coup de soleil à l'Olympia», en février 1991? En pleine guerre (...)
19 mars 1962. Il y a 53 ans, plus d'un demi-siècle déjà ! A midi précise, le cessez-le-feu entrait en vigueur en Algérie. Il avait été décidé d'un commun accord, la veille même, par les deux délégations qui négociaient à Evian, au nom du (...)
19 mars 1962. Il y a 53 ans, plus d'un demi-siècle déjà ! A midi précise, le cessez-le-feu entrait en vigueur en Algérie. Il avait été décidé d'un commun accord, la veille même, par les deux délégations qui négociaient à Evian, au nom du (...)
Mardi matin, 9 février 2010. Toutes les rédactions, à Alger comme à Paris, ne parlent plus que de cela : « Une loi algérienne va criminaliser la colonisation. » Dans les milieux politiques des deux pays, les déclarations incendiaires se répondent (...)
Mardi matin, 9 février 2010. Toutes les rédactions, à Alger comme à Paris, ne parlent plus que de cela : «Une loi algérienne va criminaliser la colonisation.» Dans les milieux politiques des deux pays, les déclarations incendiaires se répondent (...)
Le 15 mars 1962, un commando de tueurs de l'OAS assassinait, à Alger, six instituteurs - trois algériens et trois français - « coupables » de travailler avec les plus pauvres des Algériens, au sein des centres sociaux créés par Germaine (...)
Robert Aymard, Marcel Basset, Mouloud Feraoun, Ali Hammoutène, Max Marchand et Salah Ould Aoudia étaient fusillés à bout portant par la bêtise et par la haine. Ce fut alors la désespérance dans toute la communauté éducative en Algérie et en (...)
Une soixantaine de députés à l'Assemblée nationale, appartenant au groupe UMP, ont écrit au ministre français des Affaires étrangères pour lui dire leur mécontentement que le président de la République algérienne ait été invité aux cérémonies du 60e (...)
Ces parlementaires (ou leurs prédécesseurs) avaient déjà manifesté le même type de réprobation lorsque Abdelaziz Bouteflika, en juin 2000, s'était exprimé à Paris devant l'Assemblée nationale : ils avaient alors déserté en masse les bancs de (...)