«La vie est au riche, l'au-delà est aux marabouts et les pauvres montent et redescendent» Adage algérien
Le foisonnement revendicatif permanent qui semble, malgré les apparences d'une tentative de réformes de forme, prendre forme et s'étale, (...)
Si pour certains esprits éclairés en science politique, M. Bouteflika inaugure la voie d'une nouvelle république, telle qu'exprimée par une frange d'analystes de la presse nationale qui apparemment semble faire dans le sens péjoratif ou pire encore (...)
Le bouillonnement actuel du pays, mouvements de contestation, tels que qualifiés par la presse, est un signe de bon augure qui plaide incontestablement pour de meilleures perspectives d'avenir.
Les réactions spontanées ou sporadiques dans les (...)
Le rêve est la vraie victoire sur le temps. Jean-Claude Carrière
Laissez-moi méditer un instant sur cette providence qui vient de tomber du ciel et qui a fait qu'un pays de la taille d'une île perdue à la limite de l'océan puisse décrocher le (...)
La guerre d'Algérie, comme qualifié par Lionel Jospin, est finie. Le colonialisme dans sa forme initiale est en déclin. Reste ses relents face au devoir de mémoire comme préalable aux relations internationales dans le respect des différences (...)
Aujourd'hui, nous faisons face à un double crime contre l'humanité. Celui du colonialisme et celui de notre mutisme. Feu Si El Bachir empruntant une citation de Freud, dans son livre (Moïse et le monothéisme), rappelait à ce sujet que «déposséder un (...)
Il y a presque une année jour pour jour décède notre père, notre ami et compagnon, ce gardien de la mémoire, feu Bachir Boumaza, suite à une maladie qui lui a ravi malheureusement le dernier souffle. C'était son dernier combat. Ce résistant de la (...)
Abdelaziz Bouteflika, Lettre adressée à la fondation du 8 mai 45 Encore un épisode regrettable inscrit au front de la France officielle. Indélébile, tatoué d'une encre permanente, éternelle tant qu'elle persiste à l'ignorer comme elle continue à (...)
Les discours glorifiant le colonialisme ne contribuent pas à rendre justice à l'Algérie.
(Abdelaziz Bouteflika, Lettre adressée à la Fondation du 8 Mai 45) Encore un épisode regrettable inscrit au front de la France officielle. Indélébile, tatoué (...)
La France de Sarkozy redécouvre en cette fête du 14 juillet les sauveurs de la république. Ils sont maghrébins, noirs et colonisés, des «indigènes» sujets à l'incorporation obligatoire. Ce sont eux qui ont servi de chair à canon, de boucliers, de (...)
Par ce rendez-vous disproportionné, la France entendait récupérer ses intérêts menacés dans ce vieux continent qu'elle avait déserté aux forceps pour aller voir normalement ailleurs. Entêtée, obstinée à vouloir encore en tirer le maximum, elle (...)
C'était prévisible que le film de Bouchareb ne récoltera que dalle! La grande et unique récompense qu'il mérite est celle de la reconnaissance du peuple algérien. Le mérite et les égards d'avoir transposé des réalités infalsifiables et amères là où (...)
C'était prévisible que le film de Bouchereb ne récoltera que dalle. La grande et unique récompense qu'il mérite est celle
de la reconnaissance du peuple algérien.
Le mérite et les égards d'avoir transposé des réalités infalsifiables et amers là où (...)
C'était prévisible que le film de Bouchereb ne récoltera que dalle. La grande et unique récompense qu'il mérite est celle de la reconnaissance du peuple algérien. Le mérite et les égards d'avoir transposé des réalités infalsifiables et amers là où (...)
En 2008, j'avais publié dans la presse nationale un article invitant nos femmes à se défaire de l'emprise colonialiste et de libérer leur esprit de ce faux combat d'arrière-garde qui ne fait que compliquer la tâche essentielle à la construction (...)
On devait fêter son quatre-vingt-deuxième anniversaire ce 16 novembre 2009. On attendait son prompt rétablissement et son retour en Algérie pour le faire. Sa naissance, puis celle correspondant au 18 du mois qui marque le vingtième anniversaire de (...)
Le gardien de la mémoire On devait fêter son quatre-vingt-deuxième anniversaire, ce 16 novembre 2009. On attendait son prompt rétablissement et son retour en Algérie pour le faire.
Sa naissance, puis celle correspondant au 18 du mois qui marque le (...)
Pour quels intérêts la France de l'UMP cherche-t-elle à déclencher « une guerre des mémoires » avec l'Algérie face à la passivité des nôtres ?
Durant le mois de Ramadhan, mois de piété, de miséricorde et de solidarité pour le peuple algérien, à un (...)
La réconciliation nationale, telle qu'elle a été initiée, nonobstant ses faiblesses, a été pour le peuple algérien une démarche qui, dans sa prospective, est acceptable. Elle a calmé bien des ardeurs et soulagé bien des douleurs. En l'espace de (...)
Le mois de mai est aux portillons de l'été. Charnière entre le bien et le mal, il s'achève à peine qu'il débute. Enveloppé d'une chape de plomb, il pèse lourdement sur les mauvaises consciences des rescapés de l'histoire. Un rendez-vous toujours (...)
«La France est un pays de flics, à tous les coins d'rue y'en a 100, Pour faire régner l'ordre public, Ils assassinent impunément...»
Hexagone (Amoureux de Paname) 1975. Renaud Séchan.
Le 17 octobre 1961, un crime d'Etat a été commis sous un ciel (...)
L'Emir n'a été ni le premier ni le dernier révolté depuis l'invasion française à avoir défendu le sol de ses aïeux et à accepter, après un parcours de 17 ans de lutte acharnée, la reddition.
L'Emir Abdelkader est un enfant de zaouïa, il doit son (...)
Il serait probablement trop tôt de les informer des exactions et des crimes commis par le colonialisme et leur décrire les atrocités subies par nos pères et nos grands-pères pour arracher notre liberté.
Que représente en réalité pour un enfant de (...)
Les commémorations ne doivent en aucune manière inciter à confondre «oubli et pardon».
Quelle paix, ne serait-ce que morale, peut-on soustraire en réalité de la commémoration du soixantième anniversaire des «massacres de Mai 45», pour éviter de le (...)
Qui dit presse écrite dit avant tout journalisme et journaliste. D'abord pour la nature du métier, ensuite pour les possibilités qu'il offre dans le traitement et la diffusion de l'information puis du message.
Nonobstant les difficultés inhérentes (...)