Le député Mansour Abdelaziz (mouvement pour le changement national prochainement crée) « Après la présentation des projets de loi de réformes au parlement, il est apparu qu'il y avait une contradiction flagrante entre la volonté de réformes exprimé par le président de la république dans son discours du 15 avril 2011, et le contenu des projets qui sont loin d'être de vrais réformes, ces réformes ne sont que révisions légales et non des réformes politiques, la réforme politique commence par la constitution ». Daho Ould Kablia (ministre de l'intérieur et des collectivités locales) « L'amendement de la constitution requiert une vaste consultation, et sa présentation au parlement pour son adoption, puis la réunion des deux chambres du parlement, puis un référendum populaire ce qui requiert au moins une année de travail » La commission juridique de l'Assemblée populaire nationale « Le projet de loi sur les élections intervient dans le cadre des profondes réformes annoncées par le président de la république dans son discours historique du 15 avril 2011 pour le renforcement de la démocratie, du multipartisme et de la liberté d'expression, dont l'Algérie à fait l'un de ces principes et paillers fondamentales de son régime politique ». Le député Larbi Baizid (rassemblement national démocratique) « Les garanties apportées par le législateur assurent la volonté et la sincérité des pouvoirs publics à lever toute ambigüité et tentative fraudes dans l'opération électorale. Et son application des directives du président de la république et de faire de cette opération le début d'un travail à long terme, et de convaincre l'électeur des programmes et idées…l'électeur reste le seul à décider de la liste des représentants dans les institutions élues, ce qui mettre fin à toute suspicion de ceux qui perdent à chaque fois dans l'opération électorale ». Le député Ali Brahimi (indépendant) « Je crains que les prochaines élections ne mènent à une nouvelle cassure entre l'état et les citoyens. La démission des ministres candidats n'a aucun sens parce que nous avons besoin d'un gouvernement sans partis et non partisan pour garantir des élections honnêtes ».