Les habitants de la cité AADL, en particulier les occupants du bloc n° w17, font toujours face à une situation alarmante. Soucieux de la sécurité de leurs enfants, ils ont adressés plusieurs lettres aux autorités locales à l'effet d'attirer leur attention sur les risques mortels encourus par l'ensemble des résidents, disant, entre autres : « Nos enfants traversent quatre fois par jour l'autoroute qui scinde notre cité pour rejoindre leurs écoles implantées plus loin, à la cité 5 Juillet 1965, ou Les Hongrois ; ces deux axes routiers du boulevard de Sidi Achour représentent un danger mortel si l'on se réfère aux multitudes d'accidents ayant eu lieu ». L'installation de plaques de signalisation pour la limitation de vitesse, la mise en place de ralentisseurs et d'abris bus réglementant les arrêts sont une nécessité que les autorités locales semblent ignorer. Un commissariat de police est également plus que souhaité par les habitants de cette importante nouvelle cité. « Même le choix du terrain sur lequel ont été réalisées les douze classes supplémentaires en amont de la forêt n'arrangera pas les écoliers qui se trouvent à l'extrémité de notre cité, du côté du parc d'attractions », ajoutent les habitants .