Les résidents de la cité 500 logements au chef-lieu de Laghouat ne savent plus à quel saint se vouer pour mettre fin à leur calvaire. Ils se plaignent de l'état de la route principale séparant cette cité et qui mène vers les autres cités. Ce tronçon routier n'est pas régulièrement utilisé par les automobilistes, car rongé par les crevasses, les nids-de-poule et les affaissements qui viennent s'ajouter aux rétrécissements de la voie, ce qui n'est pas fait pour faciliter la circulation des véhicules. Les dernières intempéries ont aggravé l'état de la route en question. De ce fait, elle est impraticable, et malgré sa courte distance, les transporteurs l'évitent de peur d'endommager leurs véhicules. «La route de cette cité qui a atteint, malheureusement, un état de dégradation avancé, est très mouvementée puisque la cité des 500 logements abrite des organismes administratifs assez visités dont la direction du tourisme et de la culture, mais aussi la DLEP, l'ANEM, une cité universitaire, un commissariat, des locaux…», précise un des résidents de cette cité.