A une question sur l'interdiction d'entrée en Algérie des journaux L'Express et Marianne, M. Sellal a d'abord répliqué que l'Algérie n'a de leçon à recevoir de personne en matière de liberté. « Nous n'avons porté atteinte à personne, mais en Algérie les gens doivent savoir que notre honneur et notre fierté ne se négocient pas », a-t-il fulminé en ajoutant qu'« il est très difficile d'accepter et quasiment indiscutable que l'on touche à la personnalité des Algériens, il y a un minimum à respecter ».