Le président Bouteflika a, peut-être, mis fin à l'espoir de voir naître et se développer un pluralisme syndical en Algérie. En déclarant hier devant les syndicalistes de la centrale syndicale qu'il ne reconnaissait que l'UGTA en tant que partenaire social, le Président a lancé un message qui ne souffre aucune ambiguïté à l'adresse des syndicats autonomes qui ont demandé à être associés au dialogue gouvernement-partenaire social.