Albert Camus évoque sa beauté lorsqu'il écrit, dans Noces à Tipaza : « Au printemps, Tipaza est habité par les dieux et les dieux parlent dans le soleil et l'odeur des absinthes, la mer cuirassée d'argent, le ciel bleu écru, les ruines couvertes de fleurs et la lumière à gros bouillons dans les amas de pierres. A certaines heures, la campagne est noire de soleil… »