« L'ordre de démolition a été donné par le wali (Djamel-Eddine Berimi ndlr) qui veut me punir à cause de mes activités au sein du mouvement des chômeurs et dans l'affaire des harragas disparus de Aïn Beïda'», a dénoncé Nawfel Chekaoui dans une déclaration à Elwatan.com. Documents à l'appui, le jeune militant a affirmé que son père, Ahmed, a bénéficié du kiosque en question de manière légale. Ahmed Chekaoui, 65 ans, a été évacué à l'hôpital, suite à la démolition de son gagne pain.
Ce matin, son fils Nawfel s'est rendu au siège de la mairie de Aïn Beïda pour demander la décision de démolition. Peine perdue, le président de l'APC est absent et aucun membre de l'assemblée communale n'a signé le la décision de démolition. « L'ordre vient d'en haut », a-t-on répondu au coordinateur du CNDDC. « L'ordre de démolition a été donné par le wali (Djamel-Eddine Berimi ndlr) qui veut me punir, à cause de mes activités au sein du mouvement des chômeurs et dans l'affaire des harragas disparus de Aïn Beïda'», a dénoncé Nawfel Chekaoui dans une déclaration à Elwatan.com.
Documents à l'appui, le jeune militant a affirmé que son père, Ahmed, a bénéficié du kiosque en question de manière légale. Ahmed Chekaoui, 65 ans, a été évacué à l'hôpital, suite à la démolition de son gagne-pain.
Ce matin, son fils Nawfel s'est rendu au siège de la mairie de Aïn Beïda pour demander la décision de démolition. Peine perdue, le président de l'APC est absent et aucun membre de l'assemblée communale n'a signé la décision de démolition. « L'ordre vient d'en haut », a-t-on répondu au coordinateur du CNDDC.