Une quantité de 52.000 tonnes de déchets ferreux a été exportée en mars dernier vers des pays comme la Syrie et la Grèce. Les activités liées à l'exportation des déchets ferreux ont été relancées à partir du port d'Oran après une interruption qui a duré plus de quatorze jours, avons-nous appris, hier, de source crédible proche de l'institution portuaire. Génératrice de gains conséquents et créatrice d'emplois, cette activité a été gelée tout au long de cette période à l'effet de permettre un bon déroulement GNL 16 récemment tenu à Oran. Cette mesure de gel, exceptionnelle, visait à sécuriser le port d'Oran qui accueillait deux bateaux-hôtels de luxe destinés aux hôtes de la ville. Ainsi, la reprise des activités par les treize opérateurs, qui se partagent le marché des déchets ferreux, est perçue comme un indicateur de relance des activités commerciales au niveau du port. Il est à noter que les exportateurs des déchets ferreux ont chacun une moyenne de trente opérations par mois établie selon un système alterné. Les spécialistes en la matière tablent sur une quantité de 600.000 tonnes de fer qui seront exportées cette année. Une quantité de 52.000 tonnes de déchets ferreux a été exportée en mars dernier vers des pays comme la Syrie et la Grèce.