Huit marchés recensés à Chéraga Aussi paradoxal que cela puisse paraître, ce n'est ni la commune d'El Harrach ni celle de Bachedjarrah qui comptent le plus de marchés informels. Le triste record est détenu par la commune de Chéraga, avec huit marchés informels, dont le plus imposant est incontestablement celui situé aux alentours du marché du 8 Mai 1945, avec 87 vendeurs recensés par la direction du commerce de la wilaya et qui est ouvert tous les jours. En seconde position, vient celui du quartier Souidani Boudjemaâ, avec 62 intervenants, mais dont les vendeurs proposent des produits d'une tout autre nature, à savoir des effets vestimentaires. En troisième position vient le marché dit VSA, avec 55 vendeurs recensés. Ces trois marchés ne sont malheureusement pas les seuls sur le territoire de la commune, car il en existe d'autres dans divers endroits de la localité. Il s'agit entre autres des marchés de Bouchaoui, de la place de l'Emir, celui de la cité Kalma, de la cité du 11 Décembre et même à l'intérieur de la station de bus de Chéraga où s'entremêlent dans une indescriptible anarchie les bus et les étals de fortune. … Et cinq au Eucalyptus La commune des Eucalyptus compte elle aussi cinq marchés informels, recensés par la direction du commerce. Le plus grand marché compte 190 commerçants illicites et est situé à Houch Flit. Les autres, qui sont de moindre importance, se trouvent à la rue Saïd Yalaoui, à la cité des 400 Logements, à l'avenue Radio, à Eucalyptus centre et à Cherarba centre. Caroubier (Hussein Dey) : Un accès à l'OPLA s'il vous plait Un passage donnant accès direct à l'Office des parcs et des loisirs d'Alger (OPLA) situé au Caroubier dans la commune d'Hussein Dey est vivement réclamé pour permettre aux adhérents sportifs de rejoindre en toute sécurité les structures à tout moment de la journée. En effet, l'OPLA n'a pas d'accès direct du côté de la ville du Caroubier. De ce fait, il faut disposer d'un véhicule pour pouvoir s'y rendre, la distance séparant le siège et les arrêts des bus étant trop longue et le chemin « est isolé », selon une femme qui se rend régulièrement à la salle de sport de l'OPLA. Actuellement, les adhérents et les travailleurs parcourent toute la distance à pied. Le chemin n'est pas desservi par les transporteurs non plus. Un inconvénient pour les parents désirant accompagner leurs enfants le soir ou très tôt le matin, et qui ne disposent pas de beaucoup de temps pour le faire à pied.