Dans un communiqué publié dimanche, la Ligue algérienne des droits de l'homme (LADH) a salué la décision prise par le président de la République de commuer la peine de mort prononcée à l'encontre de Mohamed Gharbi en peine de vingt ans de réclusion à temps. La Ligue, présidée par maître Boudjemaâ Ghechir, qui lutte depuis des années pour l'abolition de la peine de mort, se dit toutefois «très préoccupée par l'existence de la peine de mort dans la législation algérienne», lit-on dans le document bref et concis.