Mustapha Farouk Ksentini, président de la Commission consultative pour la promotion et la protection des droits de l'homme, trouve « ahurissant que des journalistes soient jetés en prison pour leurs écrits ». S'exprimant, hier, sur les ondes de la Chaîne III, cet avocat et défenseur des droits de l'homme estime qu'il y a d'autres moyens de punir les journalistes, notamment en leur infligeant des amendes. « Je suis contre leur emprisonnement, car il s'agit d'une aberration », a-t-il dénoncé.