-L'Algérie à Lima pour parler climat L'Algérie participe aux travaux de la 20e Conférence des parties à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP20), qui se tient jusqu'au 12 décembre à Lima, au Pérou. La délégation algérienne, qui prend part à cette conférence, est conduite par la ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, Dalila Boudjemaâ, et participera au segment de haut niveau prévu du 9 au 11 décembre. Le directeur du CDER, le professeur Noureddine Yassaa, assiste à cette conférence en tant que représentant le secteur de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) de l'Algérie. -Conférence sur l'énergie à Alger Sous l'égide du ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du territoire, la seconde édition de la Conférence internationale sur l'énergie et l'environnement (CIEE) se tiendra à Alger les 14 et 15 décembre. Cette conférence-exposition réunira plus de 500 participants et 30 exposants à l'hôtel El Aurassi. -Les défenseurs des droits à la terre de plus en plus menacés Les défenseurs des droits à la terre n'ont jamais été autant visés par la répression, selon un rapport de la Fédération internationale des droits de l'homme, rendu public mardi, qui recense assassinats et cas de harcèlement, notamment en Amérique latine et en Asie. «La pression sur la terre est aujourd'hui insoutenable et se mobiliser pour exiger le respect des droits économiques, sociaux et culturels des communautés affectées est devenue une activité à haut risque», pointe la FIDH. -Deux tiers des gros poissons en moins d'un siècle La surpêche a considérablement réduit les populations des grandes espèces de poissons marins : les stocks de gros poissons ont chuté de deux tiers en un siècle. C'est ce que révèle une équipe de recherche internationale (IRD), qui a passé au crible plus de 200 modèles d'écosystèmes océaniques sur l'ensemble de la planète, pour évaluer l'évolution de la biomasse mondiale en poissons de 1880 à 2007. Les scientifiques mettent ainsi en évidence un effondrement des stocks de thons, mérous, requins et autres prédateurs supérieurs, avec des conséquences en chaîne à une échelle globale, tant sur les réseaux alimentaires que sur l'équilibre des écosystèmes. Premier responsable : l'homme.