L'Iran a déclaré, hier, que l'accès à son site militaire de Parchin, près de Téhéran, « sera réglé dans le cadre d'un accord global » avec l'Agence internationale de l'énergie atomique, rejetant ainsi la demande de l'agence nucléaire de l'ONU pour une visite rapide du site. Téhéran souhaite parvenir à « un accord général » dans lequel les responsables de l'AIEA reconnaissent « nos droits au nucléaire pacifique », a déclaré le porte-parole de la diplomatie iranienne, Ramin Mehmanparast. « En contrepartie, nous prendrons les décisions pour répondre à leurs inquiétudes », a-t-il assuré, rappelant la position de son pays depuis le début des négociations avec l'agence onusienne, il y a un an.