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Criminels de légende : Tueurs en série
L?étrangleur de Boston (12e partie)
Publié dans Info Soir le 23 - 05 - 2005

Résumé de la 11e partie Le gouverneur Peabody offre une récompense de 10 000 dollars à quiconque fournirait une information menant à l?arrestation du ou des meurtriers.
Sur une suggestion de Bottomly (le mysticisme était à la mode, à l?époque), Brooke consentit à impliquer dans l?enquête Peter Hurkos, un célèbre médium hollandais. Un industriel anonyme prit en charge les services et les frais d?Hurkos. Ce dernier avait, probablement, certains dons de voyance, mais il avait, plusieurs fois, été pris en flagrant de délit de mensonge ou s?était trompé dans ses prédictions.
Le médium identifia un suspect, un homme de 57 ans que le bureau de l?Etrangleur avait soupçonné, un vendeur de chaussures ayant des problèmes mentaux et un pouce abîmé. Chez lui, on découvrit des indices intéressants, notamment des dessins d?appartements marqués d?une croix, pouvant symboliser l?emplacement où avaient été découvertes certaines victimes. Suivant une loi du Massachusetts, il fut placé dans un établissement de soins psychiatriques pour y être examiné et interrogé.
Hurkos quitta discrètement Boston le 5 février 1964. La collaboration d?Hurkos avec la police s?acheva brutalement trois jours plus tard, lorsqu?il fut accusé d?avoir usurpé l?identité d?un agent du FBI en décembre 1963 et arrêté. Le suspect arrêté fut rapidement relâché et lavé de tout soupçon, mais la crédibilité du bureau de l?Etrangleur souffrit de la présence et des allégations d?Hurkos : on soupçonna un coup monté par McNamara. Des associations de droits civils accusèrent Brooke et Bottomly d?avoir bafoué les droits du vendeur de chaussures en le plaçant d?office dans un institut psychiatrique, etc.
Aucune preuve ne put relier le vendeur aux meurtres ni aux victimes, et il fut relâché 10 jours plus tard car il n?était pas considéré comme dangereux pour la société.
Les experts du comité médico-psychiatrique du Dr Donald Kenefick voyaient des différences importantes entre les meurtres des femmes âgées et ceux des jeunes femmes. Ils pensaient qu?il était peu probable qu?une seule et même personne ait commis tous les meurtres et qu?il devait exister deux étrangleurs ou des «copieurs».
Le Dr Kenefick expliqua que, selon son équipe, le tueur de dames âgées était un homme de 30 à 40 ans. «Il est plaisant, propre, ordonné et ponctuel. Il travaille de ses mains ou a un passe-temps impliquant des ouvrages manuels. Il est sûrement célibataire, séparé ou divorcé. Il ne donne pas l?impression d?être un fou. Il n'a aucun ami proche de l'un ou l'autre sexe. Il est sûrement originaire d?Europe du Nord.»
Les psychiatres pensaient que l?Etrangleur avait tué uniquement les «vieilles dames» et que les «jeunes femmes» avaient été assassinées par un autre Etrangleur, ou alors par des hommes appartenant probablement à leur entourage, sans doute des «déséquilibrés, membres de la communauté homosexuelle». Cette explication venait du fait que ces psychiatres pensaient que tous les homosexuels détestaient les femmes et que l?homosexualité pouvait alors expliquer les postures dégradantes dans lesquelles on avait retrouvé les victimes? (à suivre...)


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