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Criminels de légende : Tueurs en série
L?étrangleur de Boston (11e partie)
Publié dans Info Soir le 22 - 05 - 2005

Résumé de la 10e partie Quelques mois plus tard, deux jeunes femmes, revenant dans leur appartement, découvrirent, avec horreur, que leur amie avait été assassinée.
Ce meurtre, peut-être le plus choquant de tous, provoqua la colère des Bostoniens contre leur police. Les enquêteurs étaient pourtant déconcertés par l?attitude des femmes de Boston, qui, malgré la panique provoquée par les meurtres du tueur, continuaient de le laisser entrer dans leur appartement, parce qu?elles le connaissaient ou parce qu?il parvenait à les convaincre de laisser un étranger pénétrer chez elles.
Le 17 janvier 1964, lors d?une réunion au sommet, le procureur général de l?Etat du Massachusetts, Edward Brooke, annonça qu?il s?investissait totalement dans cette affaire et en faisait sa priorité.
Brooke, le seul procureur général noir du pays, était un homme déterminé. Le risque politique était énorme pour lui, car il perdrait sa carrière si l?Etrangleur n?était pas appréhendé.
Il décida de créer un groupe spécial qui coordonnerait les activités des différents départements de police : l?Etrangleur avait commis ses meurtres dans cinq juridictions différentes qui ne comparaient que très rarement leurs informations. Une équipe allait être assignée en permanence à cette affaire et uniquement à cette affaire. De plus, l?équipe spéciale de Brooke devrait calmer les journaux. Deux reporters féminines du Record American avaient révélé les erreurs du Département de police de Boston, l?accusant «d'inefficacité extrême».
Pour diriger cette équipe, appelée «Division spéciale en recherche et détection du crime», Brooke choisit un ami proche, son assistant, John S. Bottomly. Pour McNamara, le désaveu était total.
Le choix de Bottomly était controversé car il manquait d?expérience en loi criminelle. Toutefois, ses supporters affirmèrent qu?il était honnête et très enthousiaste. Mais McNamara ne l?appréciait guère et nombreux étaient ceux qui le considéraient comme un arriviste sans scrupule. Il allait cependant se révéler être un organisateur très efficace.
L?équipe de Bottomly était formée du détective Phillip DiNatale de la police de Boston, de l?officier spécial James Mellon, de l?officier de police métropolitaine Stephen Delaney, et du lieutenant de la police d?Etat Andrew Tuney. Le Dr Donald Kenefick dirigeait un comité consultatif médico-psychiatrique, formé de plusieurs experts, chargé de dresser un profil psychologique du ou des tueurs.
Le «Bureau de l?Etrangleur», comme les Bostoniens appelèrent la division spéciale, devait, avant tout, rassembler, organiser et assimiler plus de 37 000 pages de rapports des divers départements de police ayant été impliqués dans l?affaire, concernant ? entre autres ? les 2 300 suspects interrogés.
Le gouverneur Peabody offrit une récompense de 10 000 dollars à quiconque fournirait une information menant à l?arrestation et à la condamnation de la personne ayant commis les meurtres des onze victimes «officielles» de l?Etrangleur. (à suivre...)


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