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Cela s'est passe un jour : Aventures, drames et passions celebres
Les vampires modernes (7e partie)
Publié dans Info Soir le 15 - 05 - 2006

Résumé de la 6e partie n Fritz Haarmann tue le jeune vagabond, le dépèce : c'est cette «viande» qu'il vend à ses voisins...
Les victimes vont se compter par dizaines... On s'étonnera plus tard que tant de jeunes gens aient été emmenés dans la petite chambre, tués et découpés sans que le voisinage s'en rende compte.
En fait, les voisins ont remarqué le va-et-vient des jeunes hommes dans l'immeuble. Les gens connaissent les mœurs dissolues de Fritz et certains l'ont même dénoncé à la police. On s'est plaint aussi du bruit qu'il fait, au petit matin, réveillant tout le monde, comme s'il désossait des moutons !
La police a pris note, mais elle n'est jamais intervenue, pour la simple raison que Fritz Haarmann est l'un de ses indicateurs ! A l'époque, en effet, pour débusquer les anarchistes et autres opposants au régime, la police employait, dans tous les quartiers, des mouchards. Et Fritz était un mouchard efficace qui a déjà permis l'arrestation de plusieurs individus. Alors, on ne va pas lui reprocher ses déviances sexuelles ! Et le bruit ? C'est son affaire ! L'essentiel est qu'il ne commette pas de délit.
La police de la ville a beaucoup à faire : on ne cesse, en effet, de signaler la disparition de jeunes gens et la découverte de restes humains, jetés dans les rivières ou abandonnés sur les places publiques, a de quoi inquiéter les braves gens. Et les policiers qui ne font rien ! Certains, plutôt que de s'adresser aux autorités de Hanovre, préfèrent saisir Berlin.«Ici, on ne fait rien !»
Et ce Fritz Haarmann qui continue à recevoir chez lui des jeunes gens qu'on voit entrer, mais pas sortir. Et ces bruits de scie, de marteau... Et comme les parents des disparus se plaignent des lenteurs de la police, on publie dans les journaux leurs photos.
«Mais ce jeune homme, je l'ai vu monter chez Haarmann !»
Il montre la photographie à quelqu'un d'autre.
— C'est vrai, il est monté chez Haarmann !
— Et il n'en est pas ressorti !
— Il faut alerter la police.
Mais une fois de plus, la police de Hanovre ne fait rien. Et Haarmann continue à se montrer en compagnie de très jeunes gens et à les recevoir chez lui. Et des jeunes qui continuent à disparaître... Et des restes et même des crânes humains que l'on découvre un peu partout. C'est que Fritz Haarmann devient négligent : il abandonne, un peu partout, les restes des jeunes qu'il tue !
Des policiers sont dépêchés de Berlin. On établit tout de suite un lien entre les disparus et les restes humains, découverts un peu partout dans la ville. On croit à un tueur en série et on tente de lui tendre un piège, en déguisant un policier en vagabond. Mais Fritz a senti le piège et il n'a rien tenté. (à suivre...)


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