Résumé de la 17e partie n Omar est chargé par son oncle de superviser les travaux de réparation dans la maison. En l'absence de son oncle, il est l'homme de la maison. Il a été occupé toute la journée, de sorte qu'il n'a vu ni Rafik ni Nadia. Quant à la tante, il l'a juste aperçue à l'heure du déjeuner quand il est venu chercher le repas. C'est seulement une fois les ouvriers partis, qu'il est descendu dans la maison. — Ils sont partis, ma tante ! Il est tout mouillé de sueur et ses vêtements sont sales. — Houlà, dit la tante, tu devrais prendre une douche ! — J'y vais ma tante. — Reviens prendre le goûter, Rafik est impatient de te voir ! Il va prendre sa douche, se change et va directement dans la chambre de Rafik. — Salut cousin ! Rafik pousse un petit cri, en le voyant. — J'ai cherché à te voir toute la journée ! — J'étais occupé avec les ouvriers ! — Mais j'ai besoin de toi, moi ! — Je suis là, dit Omar, tu veux que je fasse quelque chose pour toi ? — Rien de spécial, je voulais seulement discuter... — Tu n'as pas quitté ta chambre ? demande Omar. — Non, j'y ai pris mon déjeuner. — Et Nadia ? – Elle est allée chez ses copines... elles les invite pour son anniversaire. C'est dans quelques jours ! —Tu ne veux pas sortir prendre l'air ? — Au salon ? — Non, au jardin... — Au jardin ! — Oui, tu n'aimes pas les fleurs, les arbres ? — Si... — Alors, on va prendre le goûter, puis on ira au jardin... Rafik hésite, mais Omar lui tend ses béquilles et l'aide à se lever. La tante Zahra pousse un petit cri en voyant les deux garçons. — Tu as encore réussi à le faire descendre ! — On goûte, ma tante, et on va au jardin... J'ai proposé à Rafik d'aller humer l'odeur des arbres et des fleurs ! — C'est une bonne idée, mon garçon ! Les deux garçons s'attablent. Omar raconte sa journée avec les ouvriers et rapporte des anecdotes qui font rire aux éclats Rafik. — Allez, dit Omar, on va au jardin. — On y va, dit Rafik, qui retrouve, tout à coup, un regain d'énergie. (à suivre...)