Quatre coureurs de la sélection algérienne de cyclisme prendront part, du 18 au 26 novembre, au Tour du Rwanda, avec la participation de 80 cyclistes représentant 14 équipes, a-t-on appris, mardi, auprès de l'instance fédérale. La 4e édition du Tour du Rwanda verra la participation des meilleures équipes nationales, venues notamment du Kenya, du Cameroun, du Gabon, d'Ethiopie, du Maroc et d'Algérie. Quatre équipes internationales représentant la France, la Réunion, le Brésil et le Canada, ainsi qu'une grande équipe professionnelle (la Sanofi Team Américaine) seront également au départ. Prêts à parcourir plus de 890 km en huit étapes à travers le pays des Mille Collines, les 80 cyclistes des 14 équipes participantes se lanceront dans la bataille pour la succession de l'Américain Kiel Reijnen, grand vainqueur de l'édition précédente. Composition de la délégation algérienne : Abdenabi Khaled, Yahmi Abdenour, Baz Nabil, Benoua Djelloul. Entraîneur: Allam Samir Parcours du Tour : 1re étape - lundi 18 novembre : Kigali - Nyagatare : 151,3 km 2e étape - mardi 19 novembre (Matin) : Kigali - Muhanga : 44,1 km 3e étape - mardi 20 novembre (Après-midi) : Muhanga - Huye : 74,6 km 4e étape - mercredi 21 novembre : Huye - Karongi : 150,7 km 5e étape - jeudi 22 novembre : Muhanga - Musanze : 126,5 km 6e étape - vendredi 23 novembre : Musanze - Rubavu : 65,1 km 7e étape - samedi 24 novembre : Rubavu - Kigali : 156,5 km 8e étape - dimanche 25 novembre : Kigali - Kigali : 100,5 km.
Dopage : L'UCI envisage une «hotline» pour les coureurs L'Union cycliste internationale (UCI) mettra dans les prochains jours une ligne téléphonique pour les coureurs qui voudront parler de dopage, annonce son président dans un courriel aux licenciés, publié par le site spécialisé cyclingnews.com. «Nous devons faire plus pour s'assurer qu'on puisse avoir accès, et, en particulier, vous coureurs, à l'UCI au cas où vous avez envie de parler de problèmes ou questions reliés au dopage. C'est pourquoi, dans les prochaines semaines, et après le temps nécessaire à l'aspect logistique, l'UCI examinera la mise en place d'une nouvelle ligne ouverte, une hotline confidentielle», souligne le président de l'UCI, Pat McQuaid, dans ce message. Même si cela prendra du temps, le patron de l'UCI se dit convaincu que les coureurs apprendront à avoir confiance dans ce nouveau moyen de communication et qu'il permettra «d'accélérer le changement de culture» dans le cyclisme.