Il veut une pelouse naturelle Tchaker a fait peau neuve Comme annoncé ici, le sélectionneur national, Vahid Halilhodzic a débarqué hier en fin d'après-midi à Alger. Une venue qui entre dans le cadre de la préparation du prochain match Tanzanie –Algérie qui sera précédée par un stage de trois jours à Sidi Moussa. (27 août-1 septembre). Dans cette perspective, le Franco-Bosnien est parti hier en tournée d'inspection en compagnie du président de la FAF, Mohamed Raouraoua, en vue de choisir la pelouse qui abritera les séances d'entraînement des Verts durant ledit stage. En effet, bien que le stage ait lieu, sauf revirement de situation, à Sidi-Moussa, le staff technique projette d'organiser les séances d'entraînement ailleurs.
Il veut une pelouse naturelle Vraisemblablement, Vahid Halilhodzic veut une pelouse en herbe de bonne qualité pour abriter les séances d'entraînement de l'EN durant son stage à Alger. Cela s'explique par le fait que le match Tanzanie –Algérie se déroule sur une pelouse en herbe naturelle, d'où ce choix de superviser les pelouses des stades du 5-Juillet, Tchaker et Rouiba.
Le 5-Juillet, Tchaker et Rouiba à la loupe Dans sa tournée, le sélectionneur national a, comme révélé ci-dessus, visité hier trois stades. Le 5-Juillet, Mustapha Tchaker et Rouiba. Halilhodzic s'est montré pointilleux, voire très regardant sur la qualité de chaque pelouse.
Tchaker a fait peau neuve Il y a bien des raisons de croire que les Verts s'entraîneront à Mustapha-Tchaker. La pelouse de ce stade a été complètement renouvelée. «Il ne reste qu'à la tailler», nous a confié une source autorisée. La qualité semble correspondre en tous les cas à ce que recherchait le sélectionneur.
L'OPOW de Rouiba promet une nouvelle pelouse d'ici 15 jours A Rouiba, Vahid Halilhodzic a constaté que le terrain est en pleins travaux. Seulement, l'OPOW a promis une nouvelle pelouse d'ici deux semaines au plus tard. Reste à savoir si cette promesse a convaincu le sélectionneur qui, comme on l'a dit, s'est montré très regardant sur la qualité des pelouses. Un problème récurrent dont souffrent tous les stades de la capitale depuis des années. Abdelhak Benchikha a été contraint de déménager à Annaba pour la réception du Maroc, le mois d'avril dernier. Halilhodzic se trouve à peu près dans la même situation. Ce dernier s'est montré très regardant sur la qualité de l'herbe, mais il aura à prévoir d'autres paramètres au moment de faire son choix, dont celui du public qui sera sans doute très nombreux, voire même encombrant dans des enceintes quelque peu exiguës comme c'est le cas du stade de Rouiba. A moins de décréter le huis clos, Halilhodzic devra compter avec l'élément humain. Il va devoir prendre une décision dans les jours à venir.