L'enjeu de la phase de développement actuelle c'est avant tout l'amélioration des compétences et d'entraînement intensif pour l'acquisition de techniques nouvelles de production et de productivité afin de gagner en efficacité et d'ouvrir la voie à la création d'effets induisant la création de nouvelles entreprises dans les secteurs productifs, les créations d'emplois qui les accompagnent dans leur pérennité. L'attractivité en question relève d'enjeux structurels, notamment ceux liés à leur pertinence et à leur adéquation pour atteindre la finalité de chaque opération mise en marche. Bien saisir cette portée d'enrichissement de la valeur économique productive est un facteur déterminant pour cerner les activités et les secteurs appelés "économie productive" et visant à plus d'attractivité et également de permettre, de tirer partie de toutes les données pour consolider la prise de décision et gérer de manière convenable les ressources partagées fournies par l'effet de rentabilité collectif et par la performance macroéconomique. A cela, il convient de mettre en avant l'importance de stratégies à moyen et long termes, complémentaires, un capital humain davantage compétent pour arriver au stade de la compétitivité ainsi que la libéralisation des initiatives. A ce sujet, le gouvernement décèle dans son programme les réels déterminants de ce comportement "économique". Les réformes lancées ont été à la base de l'élimination des entraves. Préservant dans cette voie, les ajustements structurels apportés sont en train de produire les résultats de leurs effets et de cet effort, par conséquent, c'est toute la sphère économique qui arrive progressivement au stade de la performance, tout en misant sur la pérennité d'un développement durable ayant pour fondamental la diversification de sources de revenus. Il est vrai qu'à ce niveau, ce n'est plus une action de "tâtonnement", mais d'économie et de politique qui donne l'assurance d'un développement ciblé et dans lequel il faut avoir foi et agir. Naturellement, loin de l'illusion que les problèmes liés au développement sont complètement réalisés. Mais qu'y a-t-il d'essentiel ? L'essentiel, c'est qu'il y a eu place à une stratégie et une organisation sociale et économique devenue un projet national. Celui-ci devrait être respecté, le comprendre, l'exploiter afin d'assurer des rapports harmonieux. La question vitale à cette étape, surtout à l'heure où la conjoncture internationale se détériore sur divers fronts, la vigilance et la mobilisation doivent tenir le haut du pavé à tous les échelons.