Plus de 200 employés de la société des travaux d'aménagements et de viabilisation (VRD Plus), domiciliée au lieu dit l'Albatros, ont observé au cours de la matinée d'hier, un rassemblement devant le siège de leur entreprise. L'objet de ce rassemblement étant la réclamation du réglement des arriérés de leurs salaires non perçus depuis le mois d'octobre dernier. Cette action est la troisième organisée par ces mêmes travailleurs pour revendiquer leurs dus. Un des ouvriers nous dira ceci : "à chaque fois que nous réclamons nos droits, les responsables de l'entreprise ne manquent pas de nous promettre que notre unique doléance, liée au payement de nos salaires, sera résolue prochainement, mais jusque là nous n'avons encore rien eu". De ce fait les protestataires vivent dans une totale précarité. "Nous travaillons durement sur ces chantiers les ventres vides. C'est inadmissible, mais c'est plus dramatique pour nos enfants auxquels nous ne pouvons même pas offrir le minimum", s'insurge un des protestataires, la cinquantaine passée. Pour rappel, ces travailleurs multiplient, depuis le mois d'octobre dernier, les actions de protestation pour faire entendre leurs voix et percevoir leurs dus. Tahar Ounas Plus de 200 employés de la société des travaux d'aménagements et de viabilisation (VRD Plus), domiciliée au lieu dit l'Albatros, ont observé au cours de la matinée d'hier, un rassemblement devant le siège de leur entreprise. L'objet de ce rassemblement étant la réclamation du réglement des arriérés de leurs salaires non perçus depuis le mois d'octobre dernier. Cette action est la troisième organisée par ces mêmes travailleurs pour revendiquer leurs dus. Un des ouvriers nous dira ceci : "à chaque fois que nous réclamons nos droits, les responsables de l'entreprise ne manquent pas de nous promettre que notre unique doléance, liée au payement de nos salaires, sera résolue prochainement, mais jusque là nous n'avons encore rien eu". De ce fait les protestataires vivent dans une totale précarité. "Nous travaillons durement sur ces chantiers les ventres vides. C'est inadmissible, mais c'est plus dramatique pour nos enfants auxquels nous ne pouvons même pas offrir le minimum", s'insurge un des protestataires, la cinquantaine passée. Pour rappel, ces travailleurs multiplient, depuis le mois d'octobre dernier, les actions de protestation pour faire entendre leurs voix et percevoir leurs dus. Tahar Ounas