Selon un responsable de l'Institut supérieur de l'irrigation et du drainage (INSID), l'exploitation du périmètre irrigué de Sedrata (50 km de Souk-Ahras), attendue pour avril prochain, constituera un véritable "tournant" pour les plantations agricoles environnantes. Lors d'un séminaire agricole organisé dans la commune de Sedrata, le président du laboratoire régional de l'Est, sis à Oum El-Bouaghi, a souligné "l'essor économique qui attend les exploitations agricoles à la faveur d'une exploitation judicieuse des périmètres d'irrigation". Cette nouvelle dynamique, a-t-il expliqué, transformera ces terres en de "véritables unités de production" qui permettront une "réelle autosuffisance" concernant, notamment, les cultures stratégiques (blé, pomme de terre, oléiculture) et contribueront, ainsi, à limiter considérablement la facture d'importation de ces produits. Intervenant devant un parterre d'agriculteurs et de professionnels du secteur représentant la Direction des services agricoles (DSA), la Chambre de l'agriculture, les coopératives des céréales et des légumes secs (CCLS), la Direction de l'hydraulique et l'Assemblée populaire de wilaya, le président a insisté sur la nécessité de privilégier les techniques modernes d'irrigation destinées à économiser l'eau. Rappelant qu'il s'agit-là de l'un des 10 programmes agricoles sur lesquels compte le ministère de l'Agriculture pour "concrétiser le programme de renouveau agricole", cet expert a souligné le rôle de l'INSID dans l'amélioration du niveau de technicité chez les agriculteurs, notamment dans le domaine de l'irrigation, du traitement des sols et de l'utilisation des engrais. Les agriculteurs travaillant à proximité du périmètre d'irrigation de Sedrata, dans les communes de Bir Bouhouche et de Zouabi, devront profiter de cette "aubaine" en optant pour l'utilisation des techniques novatrices permettant d'optimiser le rendement des exploitations, surtout dans le domaine des cultures stratégiques. "Une filière qui favorise largement l'économie de l'eau", a souligné le même président. Un responsable de la DSA a appuyé, à son tour, cette stratégie de mise à niveau des terres agricoles et exhorté les agriculteurs à se rapprocher des services concernés pour se faire livrer les matériels d'irrigation nécessaires, rappelant le soutien de l'Etat à ce créneau. W. M. Selon un responsable de l'Institut supérieur de l'irrigation et du drainage (INSID), l'exploitation du périmètre irrigué de Sedrata (50 km de Souk-Ahras), attendue pour avril prochain, constituera un véritable "tournant" pour les plantations agricoles environnantes. Lors d'un séminaire agricole organisé dans la commune de Sedrata, le président du laboratoire régional de l'Est, sis à Oum El-Bouaghi, a souligné "l'essor économique qui attend les exploitations agricoles à la faveur d'une exploitation judicieuse des périmètres d'irrigation". Cette nouvelle dynamique, a-t-il expliqué, transformera ces terres en de "véritables unités de production" qui permettront une "réelle autosuffisance" concernant, notamment, les cultures stratégiques (blé, pomme de terre, oléiculture) et contribueront, ainsi, à limiter considérablement la facture d'importation de ces produits. Intervenant devant un parterre d'agriculteurs et de professionnels du secteur représentant la Direction des services agricoles (DSA), la Chambre de l'agriculture, les coopératives des céréales et des légumes secs (CCLS), la Direction de l'hydraulique et l'Assemblée populaire de wilaya, le président a insisté sur la nécessité de privilégier les techniques modernes d'irrigation destinées à économiser l'eau. Rappelant qu'il s'agit-là de l'un des 10 programmes agricoles sur lesquels compte le ministère de l'Agriculture pour "concrétiser le programme de renouveau agricole", cet expert a souligné le rôle de l'INSID dans l'amélioration du niveau de technicité chez les agriculteurs, notamment dans le domaine de l'irrigation, du traitement des sols et de l'utilisation des engrais. Les agriculteurs travaillant à proximité du périmètre d'irrigation de Sedrata, dans les communes de Bir Bouhouche et de Zouabi, devront profiter de cette "aubaine" en optant pour l'utilisation des techniques novatrices permettant d'optimiser le rendement des exploitations, surtout dans le domaine des cultures stratégiques. "Une filière qui favorise largement l'économie de l'eau", a souligné le même président. Un responsable de la DSA a appuyé, à son tour, cette stratégie de mise à niveau des terres agricoles et exhorté les agriculteurs à se rapprocher des services concernés pour se faire livrer les matériels d'irrigation nécessaires, rappelant le soutien de l'Etat à ce créneau. W. M.