Le gouverneur de la Banque d'Algérie ne laisse planer aucu doute quant aux capacités de l'Algérie à pouvoir financer ses propres projets. Mohamed Laksaci, a souligné qu'une "position financière extérieure confortable demeure nécessaire pour s'assurer de la réalisation du programme d'investissements publics, tout en préservant la stabilité financière externe". Le gouverneur de la Banque d'Algérie ne laisse planer aucu doute quant aux capacités de l'Algérie à pouvoir financer ses propres projets. Mohamed Laksaci, a souligné qu'une "position financière extérieure confortable demeure nécessaire pour s'assurer de la réalisation du programme d'investissements publics, tout en préservant la stabilité financière externe". Avec un matelas financier important, avoisinant les 149 milliards de dollars à fin décembre 2009, l'Algérie est assurée de pouvoir conduire à terme son investissements public. Un investissement inscrit dans le cadre du programme quinquennal 2009-2014. Le gouverneur de la Banque d'Algérie est d'ailleurs favorable à cette option et ne laisse planer aucu doute quant aux capacités de l'Algérie à pouvoir financer ses propres projets. Devant les responsables des banques publiques et celles étrangères activant en Algérie, Mohamed Laksaci, a souligné qu'une "position financière extérieure confortable demeure nécessaire pour s'assurer de la réalisation du programme d'investissements publics, tout en préservant la stabilité financière externe". Il s'agit pour le patron de la Banque d'Algérie de mettre au service de l'économie nationale, les réserves de change afin de réussir le "développement économique et social au profit des générations futures", tout en prenant en compte la "priorité dans la gestion macro-économique", raison pour laquelle il préconise la prudence dans l'affectation des ressources financières. «Il est aujourd'hui économiquement utile et même impératif d'éviter toute démarche conduisant à une mauvaise affectation des ressources en dinars et en devises", a-t-il avisé. En d'autres termes, le gouverneur de la Banque d'Algérie ne veut pas que les efforts, jusque-là consentis, tant au plan de la balance des paiements et de la dette extérieure qu'au plan des finances internes ayant abouti à une "croissance hors hydrocarbures proche de deux chiffres en 2009", soient anéantis, puisque les ramifications de la crise économique mondiale sont toujours à craindre. De tels acquis, telle la "disponibilité des ressources en devises (réserves de change) et en dinars (fonds de régulation et liquidités bancaires)", qui ont permis à "l'économie nationale de faire face à la crise économique mondiale en réalisant une performance économique solide (…) doivent être consolidés au profit d'une croissance économique endogène et proche de son potentiel", a-t-il encore recommandé. Pour le gouverneur de la Banque d'Algérie, la stabilité monétaire et financière reste le maître mot. Pour y arriver, la banque dirigée par Mohamed Laksaci opte pour une allocation efficiente des ressources, reposant sur le principe de "l'adéquation avoirs extérieurs-crédits intérieurs" que la Banque d'Algérie mène avec "prudence". L. B. Avec un matelas financier important, avoisinant les 149 milliards de dollars à fin décembre 2009, l'Algérie est assurée de pouvoir conduire à terme son investissements public. Un investissement inscrit dans le cadre du programme quinquennal 2009-2014. Le gouverneur de la Banque d'Algérie est d'ailleurs favorable à cette option et ne laisse planer aucu doute quant aux capacités de l'Algérie à pouvoir financer ses propres projets. Devant les responsables des banques publiques et celles étrangères activant en Algérie, Mohamed Laksaci, a souligné qu'une "position financière extérieure confortable demeure nécessaire pour s'assurer de la réalisation du programme d'investissements publics, tout en préservant la stabilité financière externe". Il s'agit pour le patron de la Banque d'Algérie de mettre au service de l'économie nationale, les réserves de change afin de réussir le "développement économique et social au profit des générations futures", tout en prenant en compte la "priorité dans la gestion macro-économique", raison pour laquelle il préconise la prudence dans l'affectation des ressources financières. «Il est aujourd'hui économiquement utile et même impératif d'éviter toute démarche conduisant à une mauvaise affectation des ressources en dinars et en devises", a-t-il avisé. En d'autres termes, le gouverneur de la Banque d'Algérie ne veut pas que les efforts, jusque-là consentis, tant au plan de la balance des paiements et de la dette extérieure qu'au plan des finances internes ayant abouti à une "croissance hors hydrocarbures proche de deux chiffres en 2009", soient anéantis, puisque les ramifications de la crise économique mondiale sont toujours à craindre. De tels acquis, telle la "disponibilité des ressources en devises (réserves de change) et en dinars (fonds de régulation et liquidités bancaires)", qui ont permis à "l'économie nationale de faire face à la crise économique mondiale en réalisant une performance économique solide (…) doivent être consolidés au profit d'une croissance économique endogène et proche de son potentiel", a-t-il encore recommandé. Pour le gouverneur de la Banque d'Algérie, la stabilité monétaire et financière reste le maître mot. Pour y arriver, la banque dirigée par Mohamed Laksaci opte pour une allocation efficiente des ressources, reposant sur le principe de "l'adéquation avoirs extérieurs-crédits intérieurs" que la Banque d'Algérie mène avec "prudence". L. B.