Plus de 500 personnes solidaires de la question sahraouie, venues de sept pays, ont exprimé «leur ferme condamnation» du silence international face au «mur de la honte» érigé par le Maroc au Sahara occidental, lors d'une manifestation organisée devant ce rempart militaire. Les participants à la manifestation «Colonne des 1.000» dans la région de Mahbès ont appelé l'Onu à adopter «une position ferme» face au crime contre l'Humanité que représente ce mur érigé par les autorités marocaines au Sahara occidental. Plusieurs actions ont été prises pour, à la fois, dénoncer les atteintes au droit de l'Homme par les autorités marocaines et apporter un soutien indéfectible aux prisonniers sahraouis dans les geôles marocaines. Ainsi, le secrétaire général de l'Union de la jeunesse du Polisario, Moussa Selma a annoncé, samedi dernier, le lancement de la «la campagne internationale pour le soutien et la libération de tous les détenus politiques sahraouis croupissant dans les geôles marocaines». Dans la même perspective, une délégation de militants des droits de l'Homme des territoires occupés, en visite dans les camps de réfugiés sahraouis, a appelé elle aussi, la communauté internationale à détruire Ce «mur de la honte» érigé depuis des décennies. S'agissant de l'état de santé des prisonniers sahraouis grévistes de la faim dans les prisons marocaines, le comité de suivi, récemment installé, s'est dit préoccupé par leur «état critique». Le mur de la honte au Sahara occidental - le plus long dans le monde - s'étend sur une longueur de 2.720 km, divise le peuple sahraoui en deux régions (territoires libérés et ceux occupés) il est entouré de fils barbelés et de s millions de mines antipersonnels. Massinissa Benlakehal Plus de 500 personnes solidaires de la question sahraouie, venues de sept pays, ont exprimé «leur ferme condamnation» du silence international face au «mur de la honte» érigé par le Maroc au Sahara occidental, lors d'une manifestation organisée devant ce rempart militaire. Les participants à la manifestation «Colonne des 1.000» dans la région de Mahbès ont appelé l'Onu à adopter «une position ferme» face au crime contre l'Humanité que représente ce mur érigé par les autorités marocaines au Sahara occidental. Plusieurs actions ont été prises pour, à la fois, dénoncer les atteintes au droit de l'Homme par les autorités marocaines et apporter un soutien indéfectible aux prisonniers sahraouis dans les geôles marocaines. Ainsi, le secrétaire général de l'Union de la jeunesse du Polisario, Moussa Selma a annoncé, samedi dernier, le lancement de la «la campagne internationale pour le soutien et la libération de tous les détenus politiques sahraouis croupissant dans les geôles marocaines». Dans la même perspective, une délégation de militants des droits de l'Homme des territoires occupés, en visite dans les camps de réfugiés sahraouis, a appelé elle aussi, la communauté internationale à détruire Ce «mur de la honte» érigé depuis des décennies. S'agissant de l'état de santé des prisonniers sahraouis grévistes de la faim dans les prisons marocaines, le comité de suivi, récemment installé, s'est dit préoccupé par leur «état critique». Le mur de la honte au Sahara occidental - le plus long dans le monde - s'étend sur une longueur de 2.720 km, divise le peuple sahraoui en deux régions (territoires libérés et ceux occupés) il est entouré de fils barbelés et de s millions de mines antipersonnels. Massinissa Benlakehal