Situé à une quinzaine de kilomètres de la ville de Tizi Ouzou, le village Ath Anane figure parmi les localités les plus nanties de la wilaya. Sa proximité du chef lieu de commune, la modernisation et l'entretien de ses structures et surtout sa composante humaine, font de lui un modèle en matière d'organisation et de solidarité. Situé à une quinzaine de kilomètres de la ville de Tizi Ouzou, le village Ath Anane figure parmi les localités les plus nanties de la wilaya. Sa proximité du chef lieu de commune, la modernisation et l'entretien de ses structures et surtout sa composante humaine, font de lui un modèle en matière d'organisation et de solidarité. L'entraide sociale, le volontariat et le sens de responsabilité sont le triptyque qui a forgé à travers les âges et le temps, cette communauté qui a su relever tous les défis, à commencer par la prise en charge des problèmes de la collectivité, sans aide extérieure aucune. Soudés comme une seule personne, les villageois, à leur tête le comité du village, font tout pour rendre la vie agréable à tous les habitants, en leur assurant le maximum, de stabilité et de sécurité. Synonyme de développement et de paix sociale, les habitants de ce village, très attachés à leur terre, à leurs traditions et à leurs coutumes, n'ont pas cette volonté de s'installer ailleurs que chez eux, où ils retrouvent, disent-ils, toute la quiétude et la joie de vivre. Le fait également d'avoir de l'eau potable disponible dans les foyers, de l'électricité, l'assainissement et bientôt le gaz naturel, est peut-être un des éléments qui expliquent l'engouement de ces gens à vouloir demeurer dans leur village, nous confie un des membres du comité. Il y a aussi la scolarité des enfants qui n'ont aucune difficulté à rejoindre leurs établissements respectifs, la proximité du primaire, du moyen et du secondaire n'exigeant aucun transport, l'existence de structures sportives et surtout l'incomparable site sur lequel est édifié le village, sont autant d'atouts qui encouragent les gens à se fixer. Notre village a toujours été un havre de paix, il est cité en exemple à travers toute la Kabylie, nous dira un des responsables. Autrefois il y avait plus de sept fontaines dans le village, ce qui fait que nous n'avons pas connu de pénurie. Avec l'arrivée de l'eau courante, plusieurs de ces fontaines ont disparu, d'ailleurs dit-il nous avons pensé à les restaurer, c'est juste un problème de temps. Outre l'élevage, ce village où vivent actuellement plus de sept mille âmes, est connu pour son tapis légendaire, la broderie traditionnelle et le travail de la soie, que les femmes de la région travaillent avec dextérité. Parmi les conditions qui ont poussé les Ath Anane à prendre en charge leur destinée, on peut citer les promesses et les engagements non tenus. Récemment encore, il était question de la construction, nous dit-on, d'un dispensaire et d'une mosquée, l'ancienne étant vétuste, aucun signe des autorités n'est venu conforter cette sollicitation. Les villageois seront une fois de plus obligés de relever le défi en ne comptant que sur leurs propres efforts. L'entraide sociale, le volontariat et le sens de responsabilité sont le triptyque qui a forgé à travers les âges et le temps, cette communauté qui a su relever tous les défis, à commencer par la prise en charge des problèmes de la collectivité, sans aide extérieure aucune. Soudés comme une seule personne, les villageois, à leur tête le comité du village, font tout pour rendre la vie agréable à tous les habitants, en leur assurant le maximum, de stabilité et de sécurité. Synonyme de développement et de paix sociale, les habitants de ce village, très attachés à leur terre, à leurs traditions et à leurs coutumes, n'ont pas cette volonté de s'installer ailleurs que chez eux, où ils retrouvent, disent-ils, toute la quiétude et la joie de vivre. Le fait également d'avoir de l'eau potable disponible dans les foyers, de l'électricité, l'assainissement et bientôt le gaz naturel, est peut-être un des éléments qui expliquent l'engouement de ces gens à vouloir demeurer dans leur village, nous confie un des membres du comité. Il y a aussi la scolarité des enfants qui n'ont aucune difficulté à rejoindre leurs établissements respectifs, la proximité du primaire, du moyen et du secondaire n'exigeant aucun transport, l'existence de structures sportives et surtout l'incomparable site sur lequel est édifié le village, sont autant d'atouts qui encouragent les gens à se fixer. Notre village a toujours été un havre de paix, il est cité en exemple à travers toute la Kabylie, nous dira un des responsables. Autrefois il y avait plus de sept fontaines dans le village, ce qui fait que nous n'avons pas connu de pénurie. Avec l'arrivée de l'eau courante, plusieurs de ces fontaines ont disparu, d'ailleurs dit-il nous avons pensé à les restaurer, c'est juste un problème de temps. Outre l'élevage, ce village où vivent actuellement plus de sept mille âmes, est connu pour son tapis légendaire, la broderie traditionnelle et le travail de la soie, que les femmes de la région travaillent avec dextérité. Parmi les conditions qui ont poussé les Ath Anane à prendre en charge leur destinée, on peut citer les promesses et les engagements non tenus. Récemment encore, il était question de la construction, nous dit-on, d'un dispensaire et d'une mosquée, l'ancienne étant vétuste, aucun signe des autorités n'est venu conforter cette sollicitation. Les villageois seront une fois de plus obligés de relever le défi en ne comptant que sur leurs propres efforts.