Les cours du pétrole ouvraient en baisse, hier, face à la monnaie américaine qui a progressé à son niveau le plus haut depuis une année face à l'euro, et pâtissant des inquiétudes sur l'économie de la zone euro. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord (livraison en juin) perdait 1,23 dollar par rapport à la clôture de la veille, à 87,71 dollars. Le brut léger texan (WTI), (même échéance) à échéance identique, cédait 1,18 dollar, à 85,01 dollars, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Les cours du brut reculaient mardi matin, notamment en raison des inquiétudes persistantes sur la santé économique de la zone euro et du renforcement du dollar, lié à ces craintes. Face à une monnaie unique sapée par les inquiétudes sur la dette des pays de la zone euro, le dollar a grimpé hier jusqu'à 1,3088 dollar pour un euro, son niveau le plus haut depuis un an face à la monnaie européenne. Outre son aspect "technique", lié au marché des devises (le renforcement du dollar réduit le pouvoir d'achat des investisseurs munis d'euros), la crise grecque souligne les difficultés économiques de la zone euro, dont la consommation d'énergie peine à se redresser. Par ailleurs, les inquiétudes sur la marée noire américaine provoquée par l'endommagement de la plateforme de Deepwater au large du Mexique et dont s'échappent 5 mille barils de pétrole par jour, continuaient toutefois à soutenir les prix et à accaparer l'attention du marché. En menaçant potentiellement des couloirs maritimes et en mettant en danger les forages offshore à long terme, la marée noire a poussé lundi les cours du pétrole à des sommets depuis dix-neuf mois, jusqu'à 89,54 dollars le baril à Londres. Signe que la régulation sur les forages pourrait se renforcer, les autorités américaines ont annoncé lundi la création d'une commission chargée d'examiner la sécurité des opérations à bord des plateformes pétrolières et de renforcer les contrôles des équipements R. E. Les cours du pétrole ouvraient en baisse, hier, face à la monnaie américaine qui a progressé à son niveau le plus haut depuis une année face à l'euro, et pâtissant des inquiétudes sur l'économie de la zone euro. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord (livraison en juin) perdait 1,23 dollar par rapport à la clôture de la veille, à 87,71 dollars. Le brut léger texan (WTI), (même échéance) à échéance identique, cédait 1,18 dollar, à 85,01 dollars, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Les cours du brut reculaient mardi matin, notamment en raison des inquiétudes persistantes sur la santé économique de la zone euro et du renforcement du dollar, lié à ces craintes. Face à une monnaie unique sapée par les inquiétudes sur la dette des pays de la zone euro, le dollar a grimpé hier jusqu'à 1,3088 dollar pour un euro, son niveau le plus haut depuis un an face à la monnaie européenne. Outre son aspect "technique", lié au marché des devises (le renforcement du dollar réduit le pouvoir d'achat des investisseurs munis d'euros), la crise grecque souligne les difficultés économiques de la zone euro, dont la consommation d'énergie peine à se redresser. Par ailleurs, les inquiétudes sur la marée noire américaine provoquée par l'endommagement de la plateforme de Deepwater au large du Mexique et dont s'échappent 5 mille barils de pétrole par jour, continuaient toutefois à soutenir les prix et à accaparer l'attention du marché. En menaçant potentiellement des couloirs maritimes et en mettant en danger les forages offshore à long terme, la marée noire a poussé lundi les cours du pétrole à des sommets depuis dix-neuf mois, jusqu'à 89,54 dollars le baril à Londres. Signe que la régulation sur les forages pourrait se renforcer, les autorités américaines ont annoncé lundi la création d'une commission chargée d'examiner la sécurité des opérations à bord des plateformes pétrolières et de renforcer les contrôles des équipements R. E.