Devenu un événement phare dans la capitale des Hammadites, Bejaïa accueille pour la huitième année consécutive les rencontres cinématographiques depuis samedi dernier. Le coup d'envoi de cette manifestation a vu la projection de deux films, un court et un long métrage, Le dernier passage, d'une durée de six minutes de Mounès Khemmar (qui a participé au dernier Festival de Cannes) et Le Voyage d'Alger d'Abdelkrim Bahloul (une production réalisée dans le cadre «d'Alger, capitale de la culture arabe 2007» ). Durant ces journées, organisées par l'association Project'heurts, les Boujiotes pourront apprécier, jusqu'au 4 juin, au Théâtre régional de Bejaïa, des œuvres artistiques de divers pays : Maroc, Tunisie, Belgique et la France. En plus du traditionnel Café-Ciné, l'édition de cette année consacre une large place à la formation. Un atelier de réécriture de scénarios de courts métrages de fiction (environ 15 minutes) intitulé «Coté courts», a été mis en place. Il est ouvert aux jeunes réalisateurs algériens chaque matinée. L'atelier est encadré par quatre professionnel du cinéma : Tahar Chikhaoui, critique ciné et enseignant (Tunisie), Stéphanie Durand-Barracand, responsable de développement et script-doctor (France), Mounès Khammar producteur et réalisateur (Saphina Productions - Algérie) et Jean-Pierre Morillon, directeur littéraire (France). Il est à rappeler que ces journées cinématographiques de Béjaïa sont nées d'une rencontre entre deux associations : l'association Project'heurts, basée à Bejaïa ayant pour objectif l'animation des espaces de diffusion cinématographiques, notamment à travers un ciné-club Allons voir un film, et l'association Kaina cinéma, basée à Paris. Celle-ci existe depuis mars 2003, et a comme objectif le soutien des initiatives visant à faire revivre la filière cinématographique en Algérie, le raffermissement et le développement des liens de coopération et d'échanges avec les professionnels français et plus largement européens qui souhaitent soutenir des actions en Algérie. Depuis juin 2003, date de la première édition, l'événement est devenu une tradition et commence à s'ancrer. Les rencontres cinématographiques de Béjaïa sont donc devenues une vitrine du jeune cinéma algérien. Les deux équipes tentent, à travers une programmation sous le signe de la diversité des genres (courts, longs, fictions, documentaires...), de donner à voir la richesse des regards que des jeunes cinéastes portent sur leurs pays et sur le monde. Devenu un événement phare dans la capitale des Hammadites, Bejaïa accueille pour la huitième année consécutive les rencontres cinématographiques depuis samedi dernier. Le coup d'envoi de cette manifestation a vu la projection de deux films, un court et un long métrage, Le dernier passage, d'une durée de six minutes de Mounès Khemmar (qui a participé au dernier Festival de Cannes) et Le Voyage d'Alger d'Abdelkrim Bahloul (une production réalisée dans le cadre «d'Alger, capitale de la culture arabe 2007» ). Durant ces journées, organisées par l'association Project'heurts, les Boujiotes pourront apprécier, jusqu'au 4 juin, au Théâtre régional de Bejaïa, des œuvres artistiques de divers pays : Maroc, Tunisie, Belgique et la France. En plus du traditionnel Café-Ciné, l'édition de cette année consacre une large place à la formation. Un atelier de réécriture de scénarios de courts métrages de fiction (environ 15 minutes) intitulé «Coté courts», a été mis en place. Il est ouvert aux jeunes réalisateurs algériens chaque matinée. L'atelier est encadré par quatre professionnel du cinéma : Tahar Chikhaoui, critique ciné et enseignant (Tunisie), Stéphanie Durand-Barracand, responsable de développement et script-doctor (France), Mounès Khammar producteur et réalisateur (Saphina Productions - Algérie) et Jean-Pierre Morillon, directeur littéraire (France). Il est à rappeler que ces journées cinématographiques de Béjaïa sont nées d'une rencontre entre deux associations : l'association Project'heurts, basée à Bejaïa ayant pour objectif l'animation des espaces de diffusion cinématographiques, notamment à travers un ciné-club Allons voir un film, et l'association Kaina cinéma, basée à Paris. Celle-ci existe depuis mars 2003, et a comme objectif le soutien des initiatives visant à faire revivre la filière cinématographique en Algérie, le raffermissement et le développement des liens de coopération et d'échanges avec les professionnels français et plus largement européens qui souhaitent soutenir des actions en Algérie. Depuis juin 2003, date de la première édition, l'événement est devenu une tradition et commence à s'ancrer. Les rencontres cinématographiques de Béjaïa sont donc devenues une vitrine du jeune cinéma algérien. Les deux équipes tentent, à travers une programmation sous le signe de la diversité des genres (courts, longs, fictions, documentaires...), de donner à voir la richesse des regards que des jeunes cinéastes portent sur leurs pays et sur le monde.