Une dame s‘est présentée à notre rédaction pour nous signaler un grave cas de dépassement en matière de déontologie commerciale. Cette citoyenne, de surcroît enceinte, a failli être intoxiquée en consommant des dattes achetées en barquettes conditionnées. Au moment d‘effectuer son achat la cliente n‘avait pas remarquée que l‘étiquette, censée reprendre l‘origine du produit, la date de son conditionnement et surtout sa date de péremption avait été soigneusement enlevée, ce n‘est donc qu‘au moment de consommer ce fruit, cédé d‘ailleurs au prix fort, qu‘elle s‘est rendu compte de cette absence. Mais c‘est surtout le goût infect du fruit qui a failli la faire vomir qui l‘a fait réagir et chercher justement cette date de péremption introuvable sur la barquette. La datte faisant partie des produits indissociables de la meïda du Ramadhan, des commerçants indélicats en profitent pour fourguer une marchandise périmée depuis longtemps et conservée, Dieu sait dans quelles conditions, sans le moindre scrupule de son danger sur la santé publique. Ce mois est loin d‘être placé, pour tous, sous le signe de la piété et du respect d‘autrui, loin s‘en faut. Une dame s‘est présentée à notre rédaction pour nous signaler un grave cas de dépassement en matière de déontologie commerciale. Cette citoyenne, de surcroît enceinte, a failli être intoxiquée en consommant des dattes achetées en barquettes conditionnées. Au moment d‘effectuer son achat la cliente n‘avait pas remarquée que l‘étiquette, censée reprendre l‘origine du produit, la date de son conditionnement et surtout sa date de péremption avait été soigneusement enlevée, ce n‘est donc qu‘au moment de consommer ce fruit, cédé d‘ailleurs au prix fort, qu‘elle s‘est rendu compte de cette absence. Mais c‘est surtout le goût infect du fruit qui a failli la faire vomir qui l‘a fait réagir et chercher justement cette date de péremption introuvable sur la barquette. La datte faisant partie des produits indissociables de la meïda du Ramadhan, des commerçants indélicats en profitent pour fourguer une marchandise périmée depuis longtemps et conservée, Dieu sait dans quelles conditions, sans le moindre scrupule de son danger sur la santé publique. Ce mois est loin d‘être placé, pour tous, sous le signe de la piété et du respect d‘autrui, loin s‘en faut.