La wilaya de Guelma a bénéficié d'une enveloppe de 500 millions de dinars dans le cadre de la mise en œuvre en 2010 de l'opération "Améliorations urbaines" sur trois sites, afin de combler le déficit en matière de viabilisation. La wilaya de Guelma a bénéficié d'une enveloppe de 500 millions de dinars dans le cadre de la mise en œuvre en 2010 de l'opération "Améliorations urbaines" sur trois sites, afin de combler le déficit en matière de viabilisation. Le chef-lieu de wilaya décroche une manne de 400 millions de dinars destinée aux études et à la réalisation de la viabilisation des sites d'Aïn-Defla 1 et 2 sur une superficie de 40 hectares, Oued El-Maïz deuxième tranche sur 20 hectares et El-Mechaâl sur deux hectares. Ces espaces feront l'objet d'aménagements, de travaux de voirie, de branchements d'alimentation en eau potable, de raccordements au réseau d'assainissement et de l'amélioration de l'éclairage public. Selon le directeur de l'urbanisme et de la construction, DUC, les entreprises retenues ont déjà entamé les travaux sous le contrôle permanent de la commission de suivi des opérations d'amélioration urbaine qui est sur le terrain pour veiller à la bonne qualité des conceptions et des délais impartis à la réalisation. Une enveloppe de 100 millions de dinars est réservée au parachèvement des actions primaires et secondaires des différents POS de Guelma, Aïn-Makhlouf, Roknia, Tamlouka et Hammam N'Baïls. Au titre du plan quinquennal 2005-2009, la DUC a piloté l'achèvement de 32 opérations au niveau de la wilaya de Guelma, notamment les importantes localités où 112 sites ont été concernés sur une superficie de 690 hectares, dont 177 kilomètres de voirie, des espaces verts et une vingtaine d'aires de jeux pour un coût global estimé à 4,9 milliards de dinars. Ces engagements colossaux des pourvoirs publics interpellent les responsables des APC qui doivent veiller à la préservation des ouvrages conçus par le biais d'un entretien permanent des espaces verts, de l'éclairage public, des travaux de voirie, de l'AEP dans un schéma adapté à une meilleure gestion de la ville. Par ailleurs, les comités de quartiers, les représentants du mouvement associatif et les citoyens devront s'impliquer dans la prise en charge de leur environnement en tant qu'acteurs et bénéficiaires des actions des pouvoirs publics dans le souci d'améliorer leur propre cadre de vie et assurer leur bien-être. Le chef-lieu de wilaya décroche une manne de 400 millions de dinars destinée aux études et à la réalisation de la viabilisation des sites d'Aïn-Defla 1 et 2 sur une superficie de 40 hectares, Oued El-Maïz deuxième tranche sur 20 hectares et El-Mechaâl sur deux hectares. Ces espaces feront l'objet d'aménagements, de travaux de voirie, de branchements d'alimentation en eau potable, de raccordements au réseau d'assainissement et de l'amélioration de l'éclairage public. Selon le directeur de l'urbanisme et de la construction, DUC, les entreprises retenues ont déjà entamé les travaux sous le contrôle permanent de la commission de suivi des opérations d'amélioration urbaine qui est sur le terrain pour veiller à la bonne qualité des conceptions et des délais impartis à la réalisation. Une enveloppe de 100 millions de dinars est réservée au parachèvement des actions primaires et secondaires des différents POS de Guelma, Aïn-Makhlouf, Roknia, Tamlouka et Hammam N'Baïls. Au titre du plan quinquennal 2005-2009, la DUC a piloté l'achèvement de 32 opérations au niveau de la wilaya de Guelma, notamment les importantes localités où 112 sites ont été concernés sur une superficie de 690 hectares, dont 177 kilomètres de voirie, des espaces verts et une vingtaine d'aires de jeux pour un coût global estimé à 4,9 milliards de dinars. Ces engagements colossaux des pourvoirs publics interpellent les responsables des APC qui doivent veiller à la préservation des ouvrages conçus par le biais d'un entretien permanent des espaces verts, de l'éclairage public, des travaux de voirie, de l'AEP dans un schéma adapté à une meilleure gestion de la ville. Par ailleurs, les comités de quartiers, les représentants du mouvement associatif et les citoyens devront s'impliquer dans la prise en charge de leur environnement en tant qu'acteurs et bénéficiaires des actions des pouvoirs publics dans le souci d'améliorer leur propre cadre de vie et assurer leur bien-être.