Les communes de Guelma, Hammam-Debagh, Houari-Boumediène, Medjez Amar, Bendjerah, Roknia et plusieurs agglomérations environnantes sont desservies quotidiennement à partir du barrage de bouhamadane qui emmagasine actuellement 104 millions de m3 d'eau. Les communes de Guelma, Hammam-Debagh, Houari-Boumediène, Medjez Amar, Bendjerah, Roknia et plusieurs agglomérations environnantes sont desservies quotidiennement à partir du barrage de bouhamadane qui emmagasine actuellement 104 millions de m3 d'eau. Le chef-lieu de wilaya a longtemps souffert de la pénurie d'eau potable qui a pénalisé les Guelmis condamnés à se munir de jerrycans et d'ustensiles hétéroclites pour aller puiser ce précieux liquide dans les fontaines publiques et des sources extra-muros. D'aucuns conservent un souvenir désagréable de ce feuilleton qui a pénalisé durant deux décennies la qualité de vie de la population. Conscientes de ces désagréments et de ces carences, les autorités locales avaient piloté une opération salutaire visant la distribution d'eau potable en quantité suffisante dans tous les foyers. L' Etat avait confié la réalisation du barrage de Bouhamdane, à une vingtaine de kilomètres de Guelma , à une importante société italienne qui a livré cet ouvrage hydraulique d'une capacité théorique de 185 millions de m3 d'eau au début des années 90. D'autre part, le ministère de l'Hydraulique avait décidé d'édifier une station de traitement des eaux du barrage pour l'alimentation en eau potable, sachant qu'un volume conséquent est destiné à l'irrigation des terres agricoles . En 2003, cette station de traitement ultra-moderne qui a nécessité une enveloppe financière faramineuse est mise en service en 2003 à la satisfaction générale. Les communes de Guelma, Hammam-Debagh, Houari-Boumediène, Medjez Amar, Bendjerah, Roknia et plusieurs agglomérations environnantes sont desservies quotidiennement à partir de ce barrage qui emmagasine actuellement 104 millions de m3 d'eau. Selon le directeur de l' ADE, cette station assure un pompage de 500 litres/ seconde et produit quotidiennement 38 mille m3 d'eau potable. L'objectif visé est d'améliorer sensiblement la plage horaire de distribution de ce précieux liquide dans tous les foyers et de parvenir à moyen terme à H/24. Concernant la qualité de l'eau qui est déplorée par les consommateurs à savoir odeur d'arrière-goût et couleur trouble après décantation, ce responsable se veut rassurant puisque toutes les analyses affectuées par la DSP sont formelles. L'eau est de bonne qualité, potable et ne présente aucun danger car plusieurs dizaines de tonnes de javel sont injectées chaque mois dans les installations hydrauliques. Les professionnels du secteur ont remédié à cette situation en procédant au pompage de l'eau du barrage à deux mètres de la surface au fond seulement pour éviter la vase, responsable de la défectuosité de l'eau. Selon notre interlocuteur, tout est entré dans l'ordre et les services de l' ADE s'attèlent à améliorer ses prestations de service. HAMMAM DEBAGH Réalisation d'un nouveau siège de daïra Depuis l'Indépendance et jusqu'aux débuts des années 80, l'hôtel thermal de ex-Hammam Meskhoutine accueille quotidiennement des familles curistes issues de divers horizons, venues passer d'agréables vacances dans cette localité touristique distante d'une vingtaine de kilomètres de Guelma. Cet établissement, dôté d'une vingtaine de chambres, d'un vaste restaurant et de dépendances adéquates, était prisé car c'était la seule infrastructure d'hébergement et de restauration digne d'intérèt et présentant toutes les commodités. Datant de l'époque coloniale, elle ne désemplissait pas car les cures d'eaux thermales contre les affections rhumatismales, cutanées, gynécologiques et respiratoires nécessitaient un séjour d'une ou deux semaines. Au début des années 80, les pouvoirs publics avaient réalisé, dans le cadre de l'essor touristique, le majestueux complexe touristique de Chellala, abritant 120 chambres, une centaine de bungalows, un théàtre de verdure, une salle de conférences, un centre commercial et autres structures d'accompagnement . A la faveur du dernier découpage intervenu en 1984, la localité de Hammam Meskoutine, devenue Hammam Debagh, a été érigée en chef-lieu de daïra. Acculées, les autorités locales avaient aménagé l'ancien hôtel thermal en siège de daïra et logements de fonction. Les chambres sont devenues des bureaux et la salle de restauration a été rénovée en salle de réunions. De toute évidence, cette infrasructure ne répondait pas aux attentes des citoyens et du personnel car elle n'était pas fonctionnelle. Dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014, les services de la wilaya avaient inscrit la réalisation d'un nouveau siège de daïra à Hammam Debagh. Enregistrant un taux d'avancement de travaux d'environ 60%, cette future institution de souveraineté, implantée dans un vaste terrain domanial, a été inspectée samedi dernier par le wali, accompagné d'une importante délégation. Ce bâtiment, un imposant R+2, abritera les différents services et la résidence du chef de daïra et sera inauguré dans les prochains mois, à la grande satisfaction des usagers qui évolueront, désormais, dans un espace moderne, spacieux et agréable. Roknia De nombreux projets en chantier Rattachée à la daïra de Hammam Debagh, distante d'une trentaine de kilomètres de Guelma, la localité rurale de Roknia, réputée pour ses centaines de dolmens qui attirent des touristes issus de divers horizons, a accompli, au fil des ans, un remarquable développement économique . Abritant une douzaine de milliers d'âmes, selon le dernier recensement, elle dispose à présent d'un lycée 1.000/300, de deux collèges, six écoles primaires, un stade, un centre de formation professionnelle, une polyclinique, un bureau de poste, une maison de jeunes et autres. Cette contrée est réputée également pour ses cultures oléicoles et la qualité de son huile d'olive qui est commercialisée dans diverses régions. Le chef de l'exécutif de wilaya a effectué une visite de travail et d'inspection, samedi dernier, à Roknia et a pu s'enquérir de visu de la réalisation d'une bibliothèque communale, dont l'enveloppe dépasse les treize millions de dinars, de quarante logements LSP, des F3 de 65 m2 pour 186 millions de centimes l'unité, de 70 logements RHP confiés à six entreprises de travaux publics, de 57 locaux à usage professionnel enregistrant un taux d'avancement de 85%, sachant que l'enveloppe financière allouée avoisine les 34 millions de dinars. D'autre part, une ancienne maternité fermée depuis plusieurs années fait l'objet d'une salutaire opération de réhabilitation et d'aménagement en polyclinique. Cette nouvelle structure sanitaire, dont les travaux avaient démarré en mai 2010, sera réceptionnée prochainement et consommera 88 millions de dinars. Une maquette permet d'avoir une vision sur cette future polyclinique : deux salles d'auscultation, une salle de PMI, protection maternelle et infantile, une pharmacie, un bloc de radio, une salle de chirurgien dentiste, une salle de pansements, un laboratoire, une salle d'attente, un patio et un logement de fonction pour le médecin permanent. Réseau routier 7 nouvelles maisons cantonnières bientôt opérationnelles Le réseau routier de la wilaya de Guelma sera doté prochainement de 7 nouvelles maisons cantonnières, dont la réalisation vient d'être achevée, ont indiqué les responsables locaux du secteur des travaux publics. Selon les indications recueillies auprès de la Direction des travaux publics (DTP), un montant de 63 millions de dinars avait été réservé, dans le cadre du plan quinquennal 2005-2009, pour l'étude, l'équipement et la réalisation de ces 7 maisons cantonnières, dont la mission est de ''préserver l'état des chaussées et d'en améliorer les conditions d'utilisation''. Ces infrastructures de proximité seront opérationnelles, a assuré la DTP, ''dès le début de l'année 2011'', sur la Route nationale (RN) n° 16 dans la commune de Aïn Ben Beïda, sur la RN 81 à Aïn Makhlouf, sur la RN 20 dans la région de Ras El-Akba, sur la RN 21 dans la commune de Nechmaya et sur la RN 80 près d'Héliopolis, ainsi qu'au bord des chemins de wilaya n° 123 dans la commune de Belkheïr et n° 162 dans la commune de Bendjerrah. Le chef-lieu de wilaya a longtemps souffert de la pénurie d'eau potable qui a pénalisé les Guelmis condamnés à se munir de jerrycans et d'ustensiles hétéroclites pour aller puiser ce précieux liquide dans les fontaines publiques et des sources extra-muros. D'aucuns conservent un souvenir désagréable de ce feuilleton qui a pénalisé durant deux décennies la qualité de vie de la population. Conscientes de ces désagréments et de ces carences, les autorités locales avaient piloté une opération salutaire visant la distribution d'eau potable en quantité suffisante dans tous les foyers. L' Etat avait confié la réalisation du barrage de Bouhamdane, à une vingtaine de kilomètres de Guelma , à une importante société italienne qui a livré cet ouvrage hydraulique d'une capacité théorique de 185 millions de m3 d'eau au début des années 90. D'autre part, le ministère de l'Hydraulique avait décidé d'édifier une station de traitement des eaux du barrage pour l'alimentation en eau potable, sachant qu'un volume conséquent est destiné à l'irrigation des terres agricoles . En 2003, cette station de traitement ultra-moderne qui a nécessité une enveloppe financière faramineuse est mise en service en 2003 à la satisfaction générale. Les communes de Guelma, Hammam-Debagh, Houari-Boumediène, Medjez Amar, Bendjerah, Roknia et plusieurs agglomérations environnantes sont desservies quotidiennement à partir de ce barrage qui emmagasine actuellement 104 millions de m3 d'eau. Selon le directeur de l' ADE, cette station assure un pompage de 500 litres/ seconde et produit quotidiennement 38 mille m3 d'eau potable. L'objectif visé est d'améliorer sensiblement la plage horaire de distribution de ce précieux liquide dans tous les foyers et de parvenir à moyen terme à H/24. Concernant la qualité de l'eau qui est déplorée par les consommateurs à savoir odeur d'arrière-goût et couleur trouble après décantation, ce responsable se veut rassurant puisque toutes les analyses affectuées par la DSP sont formelles. L'eau est de bonne qualité, potable et ne présente aucun danger car plusieurs dizaines de tonnes de javel sont injectées chaque mois dans les installations hydrauliques. Les professionnels du secteur ont remédié à cette situation en procédant au pompage de l'eau du barrage à deux mètres de la surface au fond seulement pour éviter la vase, responsable de la défectuosité de l'eau. Selon notre interlocuteur, tout est entré dans l'ordre et les services de l' ADE s'attèlent à améliorer ses prestations de service. HAMMAM DEBAGH Réalisation d'un nouveau siège de daïra Depuis l'Indépendance et jusqu'aux débuts des années 80, l'hôtel thermal de ex-Hammam Meskhoutine accueille quotidiennement des familles curistes issues de divers horizons, venues passer d'agréables vacances dans cette localité touristique distante d'une vingtaine de kilomètres de Guelma. Cet établissement, dôté d'une vingtaine de chambres, d'un vaste restaurant et de dépendances adéquates, était prisé car c'était la seule infrastructure d'hébergement et de restauration digne d'intérèt et présentant toutes les commodités. Datant de l'époque coloniale, elle ne désemplissait pas car les cures d'eaux thermales contre les affections rhumatismales, cutanées, gynécologiques et respiratoires nécessitaient un séjour d'une ou deux semaines. Au début des années 80, les pouvoirs publics avaient réalisé, dans le cadre de l'essor touristique, le majestueux complexe touristique de Chellala, abritant 120 chambres, une centaine de bungalows, un théàtre de verdure, une salle de conférences, un centre commercial et autres structures d'accompagnement . A la faveur du dernier découpage intervenu en 1984, la localité de Hammam Meskoutine, devenue Hammam Debagh, a été érigée en chef-lieu de daïra. Acculées, les autorités locales avaient aménagé l'ancien hôtel thermal en siège de daïra et logements de fonction. Les chambres sont devenues des bureaux et la salle de restauration a été rénovée en salle de réunions. De toute évidence, cette infrasructure ne répondait pas aux attentes des citoyens et du personnel car elle n'était pas fonctionnelle. Dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014, les services de la wilaya avaient inscrit la réalisation d'un nouveau siège de daïra à Hammam Debagh. Enregistrant un taux d'avancement de travaux d'environ 60%, cette future institution de souveraineté, implantée dans un vaste terrain domanial, a été inspectée samedi dernier par le wali, accompagné d'une importante délégation. Ce bâtiment, un imposant R+2, abritera les différents services et la résidence du chef de daïra et sera inauguré dans les prochains mois, à la grande satisfaction des usagers qui évolueront, désormais, dans un espace moderne, spacieux et agréable. Roknia De nombreux projets en chantier Rattachée à la daïra de Hammam Debagh, distante d'une trentaine de kilomètres de Guelma, la localité rurale de Roknia, réputée pour ses centaines de dolmens qui attirent des touristes issus de divers horizons, a accompli, au fil des ans, un remarquable développement économique . Abritant une douzaine de milliers d'âmes, selon le dernier recensement, elle dispose à présent d'un lycée 1.000/300, de deux collèges, six écoles primaires, un stade, un centre de formation professionnelle, une polyclinique, un bureau de poste, une maison de jeunes et autres. Cette contrée est réputée également pour ses cultures oléicoles et la qualité de son huile d'olive qui est commercialisée dans diverses régions. Le chef de l'exécutif de wilaya a effectué une visite de travail et d'inspection, samedi dernier, à Roknia et a pu s'enquérir de visu de la réalisation d'une bibliothèque communale, dont l'enveloppe dépasse les treize millions de dinars, de quarante logements LSP, des F3 de 65 m2 pour 186 millions de centimes l'unité, de 70 logements RHP confiés à six entreprises de travaux publics, de 57 locaux à usage professionnel enregistrant un taux d'avancement de 85%, sachant que l'enveloppe financière allouée avoisine les 34 millions de dinars. D'autre part, une ancienne maternité fermée depuis plusieurs années fait l'objet d'une salutaire opération de réhabilitation et d'aménagement en polyclinique. Cette nouvelle structure sanitaire, dont les travaux avaient démarré en mai 2010, sera réceptionnée prochainement et consommera 88 millions de dinars. Une maquette permet d'avoir une vision sur cette future polyclinique : deux salles d'auscultation, une salle de PMI, protection maternelle et infantile, une pharmacie, un bloc de radio, une salle de chirurgien dentiste, une salle de pansements, un laboratoire, une salle d'attente, un patio et un logement de fonction pour le médecin permanent. Réseau routier 7 nouvelles maisons cantonnières bientôt opérationnelles Le réseau routier de la wilaya de Guelma sera doté prochainement de 7 nouvelles maisons cantonnières, dont la réalisation vient d'être achevée, ont indiqué les responsables locaux du secteur des travaux publics. Selon les indications recueillies auprès de la Direction des travaux publics (DTP), un montant de 63 millions de dinars avait été réservé, dans le cadre du plan quinquennal 2005-2009, pour l'étude, l'équipement et la réalisation de ces 7 maisons cantonnières, dont la mission est de ''préserver l'état des chaussées et d'en améliorer les conditions d'utilisation''. Ces infrastructures de proximité seront opérationnelles, a assuré la DTP, ''dès le début de l'année 2011'', sur la Route nationale (RN) n° 16 dans la commune de Aïn Ben Beïda, sur la RN 81 à Aïn Makhlouf, sur la RN 20 dans la région de Ras El-Akba, sur la RN 21 dans la commune de Nechmaya et sur la RN 80 près d'Héliopolis, ainsi qu'au bord des chemins de wilaya n° 123 dans la commune de Belkheïr et n° 162 dans la commune de Bendjerrah.