Le ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement n'avait pas la mine réjouie, hier, à l'APN. Et pour cause la séance plénière du matin, qui devait être consacrée à l'adoption du projet de loi relatif aux aires protégés, a été finalement ajournée pour l'après-midi. Un ajournement auquel a été contraint le président de l'APN, Abdelaziz Ziari, à cause du manque de quorum. Il faut dire que l'Hémicycle était très clairsemé tant la majorité des députés a brillé par son absence. Décidement, ce phénomène de l'absentéisme des élus du peuple devient récurrent car ce n'est pas la première fois que cela se produit à l'APN, notamment ces derniers temps. En effet, les séances plénières de ces dernières semaines se sont toutes déroulées devant un Hémicycle clairsemé. A titre d'exemple, le débat portant sur le projet de loi de finances 2011, un texte d'une importance capitale, a été presque boudé par les députés puisque l'Hémicycle n'a jamais affiché le plein. Certaines séances se sont même déroulées en présence d'une poignée de députés seulement. Le ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement n'avait pas la mine réjouie, hier, à l'APN. Et pour cause la séance plénière du matin, qui devait être consacrée à l'adoption du projet de loi relatif aux aires protégés, a été finalement ajournée pour l'après-midi. Un ajournement auquel a été contraint le président de l'APN, Abdelaziz Ziari, à cause du manque de quorum. Il faut dire que l'Hémicycle était très clairsemé tant la majorité des députés a brillé par son absence. Décidement, ce phénomène de l'absentéisme des élus du peuple devient récurrent car ce n'est pas la première fois que cela se produit à l'APN, notamment ces derniers temps. En effet, les séances plénières de ces dernières semaines se sont toutes déroulées devant un Hémicycle clairsemé. A titre d'exemple, le débat portant sur le projet de loi de finances 2011, un texte d'une importance capitale, a été presque boudé par les députés puisque l'Hémicycle n'a jamais affiché le plein. Certaines séances se sont même déroulées en présence d'une poignée de députés seulement.