Le Président Abdelaziz Bouteflika prendra part au troisième sommet Afrique-Europe, qui s'ouvre dans sa troisième édition, à partir d'aujourd'hui à Tripoli, en Libye. Le Président Abdelaziz Bouteflika prendra part au troisième sommet Afrique-Europe, qui s'ouvre dans sa troisième édition, à partir d'aujourd'hui à Tripoli, en Libye. Quatre-vingt leaders, dirigeants, chefs d'Etat ou de gouvernement des pays de l'Union africaine (UA) et de l'Union européenne (UE) participeront à ce sommet qui tentera d'adopter le deuxième plan d'action (2011-13) de la stratégie commune Afrique-UE. Les dirigeants de l'Union européenne et leurs homologues du continent africain discuteront des thèmes portant sur « L'investissement, la croissance économique et la création d'emplois », vecteurs qui pourraient impulser un nouvel élan au partenariat Afrique-Europe. Il s'agit de consolider et de renforcer les résultats obtenus lors du deuxième sommet, qui s'est tenu en 2007 à Lisbonne, au Portugal qui avait posé les premières pierres de l'édifice de coopération entre la vieille Europe et le continent africain. Les défis qu'impose la mondialisation et la globalisation sont grands pour les deux ensembles et posent le problème de la lutte contre la pauvreté qui gagne du terrain à travers le monde, notamment en Afrique, la menace sur la paix et la sécurité qui est plus que jamais à l'ordre du jour, la promotion des droits de l'Homme et son corollaire la démocratie. L'autre grande problématique à laquelle est confrontée l'Afrique est l'urgence de résoudre le phénomène de l'émigration clandestine qui touche toute la jeunesse africaine. Les moyens coercitifs qui sont mis en œuvre pour lutter contre ce fléau n'ont pas apporté de solution adéquate à ce problème qui tire sa source de l'absence de perspectives à offrir aux jeunes du continent africain. Il apparaît à la lumière de ce constat, que le phénomène mériterait qu'on lui apporte des solutions de fond au lieu et place des traitements sécuritaires, tels qu'ils sont en cours actuellement. En tout état de cause, ce sommet des deux Unions, revêt une importance particulière du point de vue de la conjoncture présente, notamment la crise financière mondiale, le retour du terrorisme, et les épidémies et maladies qui touchent plusieurs régions du monde. Il est attendu que les dirigeants africains et européens adoptent, à l'issue du sommet de Tripoli, un partenariat stratégique englobant tous les domaines et qui s'appuiera sur des actions concrètes pour renforcer le partenariat et la coopération dans les domaines définis. « Nous sommes engagés à renforcer les capacités de l'Afrique à relever les défis qui se posent à elle en matière de paix et de sécurité ». Les Africains prennent le relais de manière politique plus appropriée. Il vaut mieux que la sécurité continentale soit prise en charge par l'Afrique, a déclaré le président de la Commission européenne, José Manuel Barosso, à Addis-Abeba, en Ethiopie soulignant que « le partenariat de l'UE avec l'Afrique n'était pas simplement une affaire de solidarité, mais qu'il constituait plutôt une occasion pour l'Europe d'assurer sa croissance future par le biais d'échanges avec l'Afrique ». Selon lui, « l'Afrique va devenir un grand marché. C'est une opportunité pour l'Europe de trouver des sources de croissance », estimant sa « conviction est que si la paix et la sécurité sont maintenues en Afrique, la plupart des pays du continent ne vont plus se contenter de lutter contre la misère, mais vont s'atteler à atteindre des taux de croissance économique plus élevés». Les deux Unions cheminent lentement vers la construction d'un partenariat qui circule dans les deux sens et qui aura l'avantage de contribuer à se partager tous les avantages qu'il procure. Quatre-vingt leaders, dirigeants, chefs d'Etat ou de gouvernement des pays de l'Union africaine (UA) et de l'Union européenne (UE) participeront à ce sommet qui tentera d'adopter le deuxième plan d'action (2011-13) de la stratégie commune Afrique-UE. Les dirigeants de l'Union européenne et leurs homologues du continent africain discuteront des thèmes portant sur « L'investissement, la croissance économique et la création d'emplois », vecteurs qui pourraient impulser un nouvel élan au partenariat Afrique-Europe. Il s'agit de consolider et de renforcer les résultats obtenus lors du deuxième sommet, qui s'est tenu en 2007 à Lisbonne, au Portugal qui avait posé les premières pierres de l'édifice de coopération entre la vieille Europe et le continent africain. Les défis qu'impose la mondialisation et la globalisation sont grands pour les deux ensembles et posent le problème de la lutte contre la pauvreté qui gagne du terrain à travers le monde, notamment en Afrique, la menace sur la paix et la sécurité qui est plus que jamais à l'ordre du jour, la promotion des droits de l'Homme et son corollaire la démocratie. L'autre grande problématique à laquelle est confrontée l'Afrique est l'urgence de résoudre le phénomène de l'émigration clandestine qui touche toute la jeunesse africaine. Les moyens coercitifs qui sont mis en œuvre pour lutter contre ce fléau n'ont pas apporté de solution adéquate à ce problème qui tire sa source de l'absence de perspectives à offrir aux jeunes du continent africain. Il apparaît à la lumière de ce constat, que le phénomène mériterait qu'on lui apporte des solutions de fond au lieu et place des traitements sécuritaires, tels qu'ils sont en cours actuellement. En tout état de cause, ce sommet des deux Unions, revêt une importance particulière du point de vue de la conjoncture présente, notamment la crise financière mondiale, le retour du terrorisme, et les épidémies et maladies qui touchent plusieurs régions du monde. Il est attendu que les dirigeants africains et européens adoptent, à l'issue du sommet de Tripoli, un partenariat stratégique englobant tous les domaines et qui s'appuiera sur des actions concrètes pour renforcer le partenariat et la coopération dans les domaines définis. « Nous sommes engagés à renforcer les capacités de l'Afrique à relever les défis qui se posent à elle en matière de paix et de sécurité ». Les Africains prennent le relais de manière politique plus appropriée. Il vaut mieux que la sécurité continentale soit prise en charge par l'Afrique, a déclaré le président de la Commission européenne, José Manuel Barosso, à Addis-Abeba, en Ethiopie soulignant que « le partenariat de l'UE avec l'Afrique n'était pas simplement une affaire de solidarité, mais qu'il constituait plutôt une occasion pour l'Europe d'assurer sa croissance future par le biais d'échanges avec l'Afrique ». Selon lui, « l'Afrique va devenir un grand marché. C'est une opportunité pour l'Europe de trouver des sources de croissance », estimant sa « conviction est que si la paix et la sécurité sont maintenues en Afrique, la plupart des pays du continent ne vont plus se contenter de lutter contre la misère, mais vont s'atteler à atteindre des taux de croissance économique plus élevés». Les deux Unions cheminent lentement vers la construction d'un partenariat qui circule dans les deux sens et qui aura l'avantage de contribuer à se partager tous les avantages qu'il procure.